1. Aurélie 10


    Datte: 15/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    ... passé toute la tige, je sentis les œillets du bas remonter légèrement. Ensuite, elle glissa une petite plaque incurvée, large de trois centimètres, et longue de quatre. La partie haute fut engagée dans la barrette, au- dessus de mon capuchon de clitoris, la basse fut solidarisée avec la tige. Le tout fut cadenassé au moyen d’une clé spéciale. Ainsi, l’accès à ma chatte et à mon clitoris se trouvait interdit.
    
    Satisfaite, Véronique referma le coffret et me dit :
    
     Voilà, tu es appareillée. Tu ne pourras plus te branler. Quand à tes nichons, vas-y doucement, sinon, tu risques d’arracher les tétons.
    
    Je savais qu’elle disait vrai, car, quand bien même ils reposaient sur mon corps, je sentais la tension que les anneaux imposaient à mes seins.
    
     Lève-toi doucement, Cybèle ! je vais te faire voir tes harnachements ! Suis-moi.
    
    Je me redressai et aussitôt, le poids des anneaux entraîna mes tétons vers le sol. Ils s’allongèrent instantanément d’un centimètre environ, étirant la masse de mon sein, l’aplatissant contre mon torse. La douleur fut instantanée, et je grimaçai. Ma maîtresse n’en tint aucun compte et m’apostropha :
    
     Allez, dépêche-toi, si tu veux te voir. Après, je te rattache sur ta paillasse.
    
    Je parvins enfin à trouver une marche qui ne faisait pas trop bouger les anneaux et je m’approchai du miroir. Si j’avais déjà une bonne idée de ce qui ...
    ... attendait mes seins, je fus saisie à la vue de ma chatte fermée. J’écartai les cuisses, afin de contempler les circonvolutions de la tige dans les œillets, la plaque épousant mon clitoris et m’empêchant de le solliciter. Je me sentis mouiller. J’étais vraiment une chienne, une salope.
    
    Allez, ça suffit, lança ma maîtresse, me ramenant sur terre, sur ta paillasse, maintenant !
    
    Je la suivis et je senti s que je commençais à m’habituer à la présence des anneaux sur mes seins. Parvenus dans mon cagibi, elle me passa une chaîne au cou, qu’elle relia à un anneau placé haut, au moyen d’un cadenas. Ensuite, elle menotta mes poignets et les relia à la chaîne, au niveau de mon cou. Puis, ce fut au tour de mes chevilles, d’être emprisonnées. Mes jambes furent tendues et attachées à un anneau. Ainsi, j’étais immobilisée sur le côté, étirée de tout mon long, dans l’impossibilité de bouger.
    
    Véronique se releva, caressa mon flanc dénudé et dit :
    
     Voilà, dors bien ! Demain soir, nous ferons des photos de toi, avec divers harnachements, et nous passerons l’annonce. Je suis sûre que tu auras du succès. Bonne nuit, salope !
    
     Bonne nuit, maîtresse !
    
    Et elle sortit, plongeant la pièce dans le noir. Seule, je restai longtemps éveillée, guettant les sensations qui irradiaient de mes seins, de ma chatte. Lorsque je réussis enfin à m’endormir, il devait être très tard. 
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