1. Aurélie 10


    Datte: 15/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    ... moi. Je commençai à la supplier :
    
     Pitié maîtresse, assez ! J’ai mal ! s’il vous plait ! Pardon, je ne recommencerai plus, je vous le jure ! Ahhhhh ! J’ai mal ! Pitié … pitié !
    
     Ça, tu peux en être sûre, que tu ne recommenceras pas, salope, putain, siffla-t-elle, que cela te serve de leçon.
    
    Elle se retira de moi, me laissant pantelante, anéantie sur le sol. Je la sentis se relever et quitter la pièce. Lorsqu’elle revint, cinq minutes plus tard, j’étais toujours au sol. La douleur s’était atténuée, jusqu’à disparaître. Jamais je n’aurais cru pouvoir accepter une telle brusquerie. Et pourtant, je ne ressentais plus qu’une légère tension dans mon vagin.
    
     Pour te faire passer l’envie de recommencer, tu vas enlever le lit. Désormais, tu dormiras sur le matelas, à même le sol ! allez, exécution !
    
     Oui maîtresse !
    
    Je me relevai, allai à la chambre. Si descendre le matelas au sol ne me fut pas difficile, il en fut tout autrement pour retirer le lourd sommier. Pendant ce temps, Véronique était sortie. Elle revint avec le concierge qui portait tout un ensemble d’outillage. Je compris très vite le pourquoi. Sur les indications de ma maîtresse, il perça des trous et enficha des anneaux. Lorsqu’il eut terminé, Véronique demanda :
    
     Voulez-vous que ma petite pute vous remercie à sa façon ?
    
     Ah ! … et comment peut-elle me remercier ?
    
     Réponds, salope, lança ma maîtresse.
    
     Je peux vous sucer à fond, monsieur. Vous pouvez aussi m’enculer. Par contre, ma ...
    ... maîtresse m’a ravager la chatte et elle est trop sensible !
    
     Alors, suce-moi, pour commencer !
    
    A genoux, je m’approchai de lui, dégrafai la ceinture de son pantalon et fit glisser la fermeture éclair de sa braguette. Ensuite, je descendis le pantalon sur les cuisses. Le slip ne parvenait pas à contenir la bite qui y était cachée. Lorsque je fis glisser le sous-vêtement, une queue longue, large et épaisse me jaillit au visage. Lorsque j’approchai ma bouche du gland turgescent, une odeur fauve, d’urine et de sueur me monta au nez, odeur qui me grisa et je me jetai sur la bite dressée. Je commençai par sucer le gland, insinuant ma langue dans le méat. Ensuite, j’avalai la hampe, au plus loin possible. A chaque fois, je dentais le membre s’enfoncer encore un peu plus profond dans ma gorge. L’homme ne faisait aucun mouvement, savourant la fellation. Au bout d’un moment, je sentis la bite se coller à ma luette, tout au fond de la gorge, et j’eus un haut le cœur. Mais je ne me déclarai pas vaincue pour autant. Alors, je décidai que j’allai avaler la bite jusqu’aux couilles et je revins sur le morceau, bien décidée à réussir cet exploit. Je recommençai, encore et encore, tentant de faire passer la hampe dans ma gorge, afin de ne plus ressentir de nausée.
    
    Et enfin, alors que j’allais renoncer, je sentis le gland passer derrière la luette et s’engager dans ma gorge. Dans le même temps, mes lèvres parvinrent en contact avec les poils du pubis de l’homme. Je me retirai et revint, ...