1. Aurélie 10


    Datte: 15/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    ... acheté sur le trajet du retour. Pendant que je dévorais ces plats, elle s’éclipsa, pour revenir habillée, plutôt déshabillée dans son kimono transparent, dévoilant tout son somptueux corps. Je vis tout de suite qu’elle savait ce que j’avais fait dans l’après-midi. Pourtant, tout le temps que je mangeai, elle n’en laissa rien paraître.
    
    Ce ne fut que lorsque j’eus terminé de dîner, qu’elle me dit :
    
     Suis-moi, j’ai quelque chose à te faire voir !
    
    Et elle se dirigea vers le bureau. En entrant, je vis tout de suite que l’écran d’ordinateur affichait une image de ma chambre.
    
     Tu reconnais ? Fit-elle, en me montrant l’écran.
    
     Oui, maîtresse, répondis-je, en baissant la tête et mettant les bras dans le dos.
    
     On en voit des choses, là-dessus, n’est-ce pas ?
    
     Oui maîtresse !
    
     Tu es vraiment une sacré salope. A peine percée, tu te branles sur les montants du lit !
    
    Je me jetai à genoux à ses pieds et me prosternai devant elle.
    
     Pardon, maîtresse ! Mais c’était plus fort que moi ! Je n’ai pas pu m’en empêcher ! Punissez-moi ! Punissez votre chienne ! fouettez votre salope ! Je le mérite, maîtresse.
    
     Va te mettre à quatre pattes au milieu du salon, visage au sol, mains tendus devant toi !
    
     Oui maîtresse !
    
    Je m’exécutai rapidement. Rien qu’à l’idée que j’allais être fouettée, ma chatte se liquéfiait. Qu’étais-je devenue ? Maintenant, rien qu’à la suggestion de punition, j’approchais la jouissance. J’étais une véritable pute ...
    ... masochiste.
    
    Véronique revint dans la pièce. Je devinai, plus que je ne vis, qu’elle avait en main, la cravache. Elle passa le bout dans la raie de mon cul, s’arrêtant un instant sur ma rosette, continua jusqu’ à ma fente, flattant les grandes lèvres appareillées. Puis, elle me dit :
    
     Redresse-toi ! Mains sur la tête !
    
    J’avais à peine pris la position que le premier coup cinglait mon cul. Je m’arquai, retenant de justesse un cri de douleur. Elle passa devant moi et cingla mon ventre, juste au niveau du nombril. Cette fois-ci, je me pliai en deux, le souffle coupé. Un troisième coup, asséné sur les fesses, me fit me cambrer à nouveau. Véronique continua ainsi pendant dix coups, alternant fesses et ventre. Au dixième, elle me dit :
    
     Reprend la position première, et ne bouge pas. Je reviens !
    
    Je me remis à quatre pattes, visage au sol, mains tendues devant moi. Elle revint rapidement et s’installa derrière moi. D’un geste brusque, elle m’écarta largement les cuisses et je sus qu’elle allait me baiser, avec un gode ceinture. Elle présenta le gland à l’entrée de ma grotte humide et, sans forcer, s’enfonça dans ma chatte jusqu’au fond. Ensuite, elle me prit aux hanches et commença des va et vient brutaux. A chaque coup rentrant, je sentais le gland du gode heurter le col de mon utérus. J sus qu’elle avait décidé de e faire mal, pour me punir.
    
    Elle me baisa ainsi pendant près de dix minutes, minutes pendant lesquelles je tins bon. Ensuite, ce fut plus difficile et douloureux pour ...
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