1. Aurélie 10


    Datte: 15/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    Quelle heure pouvait-il bien être ? Une fois de plus, je n’aurais pas pu le dire. Toujours est-il que la pénombre dans laquelle était plongée ma chambre, indiquait que nous étions le soir, voire même la nuit. Je me sentais vaseuse, dans le brouillard. J’eus conscience d’une présence à mes côtés, puis de son départ. Je m’écroulai une fois de plus.
    
    Lorsque j’émergeai, de meilleure forme, j’étais toujours allongée sur mon lit, avec une envie pressante d’uriner. Je me levai précautionneusement et je me rendis compte que j’étais de nouveau entravée, mains à la taille et collier relié à la chaîne du lit. Je m’accroupis au-dessus du seau, appréhendant la douleur et la brûlure de l’urine. Il n’en fut rien et je sentis à peine une gêne. Lorsque je me redressai, je regardai mes seins et j’aperçus immédiatement la petite tige qui les perçait de part en part. J’eus plus de mal à apercevoir les œillets de mes grandes lèvres.
    
    Voilà, c’était fait. J’étais annelée. Maintenant, ma maîtresse allait passer à la deuxième partie de son plan. J’allais être prostituée à des pervers, qui allaient m’humilier, me baiser, faire de moi un objet. Je ressentis immédiatement une excitation intense. Mais hélas, aucun moyen de la satisfaire. Tout à coup, une idée me vint. Je montai sur le lit et me frottai aux barreaux. Il ne me fallut pas plus de deux minutes pour parvenir à un orgasme qui me laissa pantoise, anéantie et je m’écroulai sur le lit, au risque de m’étrangler avec la chaîne. Je restai ...
    ... longtemps étendue, reprenant lentement ma respiration. J’avais trouvé le moyen de me soulager, d’apaiser cette tension. Surtout, si je voulais pouvoir continuer, il ne fallait pas que Véronique l’apprenne. Je regardai autour de moi et soudain, je tressaillis. Là-haut, dans un coin éloigné de la chambre, inaccessible, un œil noir me fixait. Pas de doute, c’était l’œil d’une caméra. Et cette caméra était là pour me surveiller. Et elle m’avait vue me masturber et jouir. Aucun doute, j’allais être punie. Ma maîtresse ne pouvait pas laisser passer cela. Qu’allait-il m’arriver ?
    
    Pendant longtemps, je fixai ce témoin de ma déchéance, de ma masturbation et de ma jouissance. Je savais que la punition allait être sévère et que plus jamais je n’aurais l’occasion de recommencer ce petit manège.
    
    Je tentais de me remémorer depuis quand elle avait pu être installée. Aucun moyen de m’en souvenir.
    
    Alors, punie pour punie, je ré enfourchai le lit et me fit jouir, sans regarder la caméra, pour ne pas accentuer la provocation.
    
    Je sus que nous étions le soir lorsque j’entendis la porte s’ouvrir. Véronique entra dans la pièce et me toisa :
    
     Comment vas-tu, Cybèle ?
    
     Mieux, maîtresse !
    
     Bien ! Tu sais quel jour nous sommes ?
    
     Non maîtresse.
    
     Jeudi soir !
    
     Jeudi ? J’ai donc dormi toute une journée ?
    
     Oui. Tu en avais besoin. Lève-toi et suis-moi !
    
    Je suivis ma maîtresse jusqu’à la cuisine. Là, elle me fit assoir à la table et me servit un encas, qu’elle avait ...
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