1. Acte 3


    Datte: 06/06/2021, Catégories: fhhh, soubrette, massage, théatre, Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... parole, donc il ne risque pas un jour de révéler que vous entreteniez une correspondance avec Mademoiselle de Jamois.
    
    MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Et toi, Suzon, il faudra que tu restes muette sur ces billets.
    
    SUZON – Je resterai aussi silencieuse qu’une carpe dans un étang.
    
    MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Puis-je avoir complète confiance en toi ?
    
    SUZON – Monsieur, vous me chagrinez fortement. Ne vous ai-je pas démontré ma discrétion ? Je n’ai pas dis à Monsieur du Bois que sa femme était couchée avec vous alors qu’il vous visitait ce matin. Je sais bien des choses que Monsieur le comte aurait bien été heureux d’apprendre, pourtant je suis restée coite.
    
    MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Il est vrai que je te traite fort mal. Viens ici que je te récompense de tes loyaux service Suzon.
    
    Il extirpe les deux très volumineux seins de la robe de la chambrière..
    
    SUZON – Oh Monsieur, vous savez si bien caresser mes seins. Cela me manquera beaucoup lorsque je serai parti au service de votre sœur.
    
    MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Tu aimes aussi que je les baise, que je les suce comme un nourrisson.
    
    SUZON – Oh oui, j’aime tant cela.
    
    MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Suzon, tu as les mamelles de nourrice. Ma sœur ferait bien de te prendre comme nourrice pour ses propres enfants.
    
    SUZON – Cela me gênerait.
    
    MARQUIS DE SAINT-AUBIN (tout en continuant à malaxer et embrasser les seins) – Pourquoi donc ? Je ne peux croire que cela te dérangerait de montrer des deux tétins en public pour allaiter ...
    ... ton enfant et celui de ta maîtresse.
    
    SUZON – Non, ce serait même le bon côté des choses. Non, ce qui m’ennuierait, ce serait de prendre mari. Jamais votre sœur n’accepterait de confier son enfant à une servante qui met au monde un marmot sans père. Or je serais incapable de faire l’amour avec un seul homme.
    
    MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Oui, tu es toujours à l’affût du premier vit qui traîne Suzon, ou de la première verge comme tout à l’heure. J’aime te baiser, j’aime quant tu suces mon membre. Je doute que je ne suis pas le seul à bénéficier de tes bons offices n’est-ce pas ?
    
    SUZON – Vous avez raison : j’aime le sexe des mâles, les prendre en bouche, les faire grossir, et puis goûter leur jus, je n’en perds jamais une goutte. Je ne comprends pas ces pimbêches qui refusent la moindre goutte de foutre, ce délicat nectar à la douce odeur de la fleur du châtaigner. Céans, j’ai baisé avec toutes les personnes que compte cette maison : vous, votre beau-père, tous les valets, les garçons d’écurie, le cocher… Mais vous êtes parmi les rare a m’avoir tringlée par les deux trous du bas. Comme ce matin, votre sexe dans mon cul, cela me plait beaucoup. J’aime être prise également par-devant, mais cela peu porter plus à conséquence.
    
    MARQUIS DE SAINT-AUBIN –N’as-tu pas également partagé de doux moments avec certaines personnes du beau sexe ?
    
    SUZON – Quand je n’ai pas d’homme à ma disposition, je ne suis pas sans œuvrer dans les plaisirs saphiques. Les deux autres chambrières de ...
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