Annie, nympho et je ne me soigne pas. (3) - Histoires de Sexe

Annie, nympho et je ne me soigne pas. (3)

... Il est poilu, on devine ses couilles au travers de cette forêt vierge. Je taquine son gland, il ne l’entend pas de cette manière.

— Perd pas de temps, suce-moi comme une chienne. Fais ça fissa, bobonne m’attend.

Il m’appuie sur la tête. Il me force, j’aime cela. Je bave dans ses poils, il exulte et me gicle dans la bouche.

— Pas mal, lui dis-je en récupérant le trop-plein avec mes doigts.

Et je passe à son collègue. J’ai compris, il veut comme son ami. Je le suce avec envie, avec dévotion. Le premier s’est agenouillé derrière- moi, et il me fiche sa bite dans mon con. Les flocs-flocs trahissent mon état d’excitation. Il y va fort, il se démène comme un beau diable. Celui que je suce me retire de sa bite et me gicle sur ma petite gueule de pute. Il me barbouille en frottant sa queue sur tout mon visage. Il se lève et s’assoit à côté d’Olivier.

— Sacrée nana que tu as là. J’ai rarement vu une gonzesse qui aime la queue comme cela. C’est ton amie ?

— Non, c’est ma sœur, répond Olivier du tac au tac.

— Et tu la baises ?

— Non, je la défonce.

— Avec un gourdin comme le tien, elle doit bien s’amuser.

De l’entendre parler de moi ainsi, me met hors de moi. Suis-je en colère ? Non, je suis comme folle et terriblement fière d’être sa "sœur". Le petit-vieux me gicle dans ma chatte dans un râle de satisfaction. Je me retourne et lui nettoie ses outils.

Ils sont satisfaits. Ils m’embrassent et nous disent qu’ils doivent rejoindre leur épouse. Je me mets entre les cuisses de mon amant.

— Tu as été culotté de lui dire que j’étais ta frangine.

— Désolé, je ne sais pas ce qu’il m’a pris...

— Ne le sois pas, j’ai adoré !

On se câline un petit moment, puis passage aux douches. On repasse aux vestiaires.