Annie, nympho et je ne me soigne pas. (3)
Datte: 02/06/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: tomy83, Source: Xstory
... Impressionné ?
— Putain, la salope...
— Cette scène a été compliquée à mettre en place, mais une fois bien prise...Humm.
Je m’assois à côté de lui et lui caresse sa bite. Je le détache. Je sors de la pièce et vais sur ma terrasse accompagnée d’une petite bière. Il arrive derrière moi. Je me cambre. Il fait presque nuit, les lumières de la ville éclairent mon balcon de leur halo. Il me prend dans ses bras.
— Tu as aimé de faire ces films ?
— Sache que je n’ai jamais simulé. J’avais le choix de mes partenaires, ce qui facilite la chose. J’assistais à leur casting.
— Tu es très belle quand tu jouis. On voit que tu aimes le sexe sans interdit, sans tabou.
Pour le remercier de ces gentilles paroles et pour lui confirmer ses dires, je prends la queue et m’empale dessus. Il souffle et me saisit par les hanches, et il me défonce. Sans m’inquiéter des gens qui passent 15 étages plus bas, je crie comme une truie. Il me claque les fesses, il se libère. A chaque coup de reins, il est plus violent. Son souffle est court, mais bruyant.
— Tu aimes quand je te démonte. Tu aimes que l’on te frappe ?
— Oui, j’aime. J’arrive à dire.
Il me malaxe les seins sans pitié, il m’étire les tétons à l’extrême. J’ai réveillé la bête qui était en lui. Je mouille comme une souillon. Son pubis claque contre mes fesses. Je jouis silencieusement, aucun son n’arrivant à sortir de ma bouche grande ouverte. Il jouit à son tour en lâchant tout ce qu’il avait en réserve. On tombe ...
... sur mon petit matelas, repu et heureux. On se lève et on rejoint ma chambre. Première fois depuis des lustres que je m’endors paisiblement dans les bras d’un mec.
Je me réveille comme je m’étais endormie, dans ses bras. Je me lève tout doucement et vais préparer le café. Pendant qu’il coule, petit passage à la douche, j’en profite pour me faire un lavement. Aujourd’hui, je lui offre mon gros cul. Une fois propre de partout, je passe par la chambre. J’y récupère Maurice, un tube de vaseline, et mon bijou anal d’un bon cinq centimètres de diamètre. Je sors et referme délicatement la porte. Je bois mon café quand on sonne à ma porte. Je saute vite fait dans un short qui traînait et passe un tee-shirt. Je regarde par le judas, c’est Madame Quiquenpoi. Je lui ouvre. Elle reste dans le couloir.
— Excusez-moi, Olivier n’est pas là. Il m’avait promis...
Sa phrase est interrompue par l’arrivée de ma grenouille avec son érection matinale. Il voit la vieille dame, elle le voit dans toute sa splendeur. Olivier part mettre un short.
— Oui, il est là...Vous voulez un café ?
— Non, j’ai déjà pris le mien. Ne vous inquiétez pas, ceci restera entre nous, dit-elle tout sourire.
Elle s’en va et repart par les escaliers, c’est ma voisine du dessous. J’explique à Olive la situation. Il est tout blanc, il se sert un café, je me remets nue. Je le rassure, elle saura tenir sa langue. Il me sourit et reprend des couleurs. Il me demande ce que j’ai prévu aujourd’hui.
— Baiser, lui ...