1. Annie, nympho et je ne me soigne pas. (3)


    Datte: 02/06/2021, Catégories: Hétéro Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... répondis-je. Non, je plaisante. Quoique, je connais un endroit relaxant et on peut y aller à pied, c’est à 200 mètres.
    
    Il part chez lui pour se changer. Je mets un minishort en jean, et un petit Marcel découvrant les côtés de ma poitrine. Je descends. Ma Grenouille m’attend. Je suis morte de rire, quand je le vois. Il ressemble vraiment à une rainette.
    
    — Tu me fais penser à une grenouille; trop marrant.
    
    — HAHAHA, trop marrant. Pauvre fille.
    
    Pour me faire pardonner, je l’embrasse.
    
    — Pourquoi tu ne te transformes pas en prince charmant ?
    
    — Je suis une grenouille, pas un crapaud.
    
    On éclate de rire et pour la première fois, je lui prends la main en croisant nos doigts. On marche cinq minutes et on arrive devant l’établissement.
    
    — Etablissement nudiste les mercredis et les dimanches.
    
    Ouf ! Je respire, je craignais que la politique ne soit plus la même. Je pousse la porte, on est accueilli par une charmante femme qui, après encaissement du droit d’entrée, nous donne des serviettes. Elle nous demande si nous connaissons le fonctionnement des salles.
    
    — Oui, j’étais une bonne cliente, autrefois.
    
    Elle nous sourit et appuie sur le bouton nous permettant l’accès aux salles. J’entraîne ma grenouille aux vestiaires. Je me mets nue, ma grenouille aussi en regardant avec dépit le plafond. Le dimanche, les douches sont communes. On prend la même douche. On ne se tripote pas, on reste sage. On va au Sauna. Les cabines sont soit faites pour un couple, soit ...
    ... faites pour y accueillir une petite troupe. Je décide de prendre la deuxième. On met nos serviettes sous nos fesses et je m’allonge la tête sur les cuisses de mon amant. Je replie mes jambes et écarte mes cuisses. Il bande. Je caresse du revers de la main ses cuisses sans toucher son sexe.
    
    — Tu la trouves comment ma queue ?
    
    C’est bien un truc de mecs. Toujours inquiet que nous, les filles, on soit déçu par leur attribut. Je le rassure.
    
    — Elle est belle, avec un gland plus gros que ta verge, on dirait un gros cep. On en mangerait. Elle est douce, d’une longueur qui me convient et d’un diamètre qui me convient. L’as-tu déjà mesurée ?
    
    Notre conversation est interrompue par l’intrusion de deux mecs; la cinquantaine, bedonnants. Ils s’installent sur le banc d’en face. Ils enlèvent leur serviette. L’un bande mou, l’autre a une érection plus que respectable. Je regarde Olive.
    
    — Tu en as envie ? me demande-t-il à l’oreille.
    
    — Très.
    
    Il enlève ma tête de ses jambes et me pousse délicatement vers les entre-jambes de ces deux mecs. Ils ont compris, ces vieux lascars. Je suis à genoux entre eux deux. Je prends leur queue entre mes doigts, les décalotte et commence à les branler. La réaction ne se fait pas attendre. Elles sont peut-être courtes, mais épaisses. Un pied vient m’écarter les cuisses et frotte mon entrejambe.
    
    — Putain, elle est trempée, la petite salope.
    
    Je plonge sur la bite du plus vieux, elle sent bon; déçue. Je préfère les queues qui sentent l’homme. ...