Annie, nympho et je ne me soigne pas. (3) - Histoires de Sexe

Annie, nympho et je ne me soigne pas. (3)

Il se retire avant ma jouissance.

— Un partout, dit-il avant de se rhabiller.

Il a de la suite dans les idées, cette grenouille. On remonte jusqu’à la voiture.

— Tu veux voir où je tournais.

— Non...Euh...Oui.

Je le dirige dans le vieux Toulon, pas très loin de la gare. D’ailleurs, il se gare face à un petit immeuble. Il a de la chance ! Je sonne à l’interphone. Une voix que je reconnais me répond :

— Oui; c’est pour quoi ?

— C’est Annie, la reine de l’arène.

— Putain ! Rentre ma puce.

Je rassure Olivier qui stresse. Je traverse la grande cour intérieure et pousse une lourde porte en bois. Je suis accueillie par ce bon vieux Jacques. Il n’a pas changé. Il est petit, bedonnant, mal rasé, mais toujours aussi sympa. Il me saute dessus et me prend dans les bras.

— Annie, ma princesse, que me vaut l’honneur de ta visite ?

— Je viens faire visiter les locaux à ce jeune homme.

— Pas très épais. Mais bon, des fois, cela cache bien des surprises. Il y a un tournage en bas. Tu connais le chemin ?

Je l’embrasse sur le front et entraîne Olivier dans un petit escalier en fer. Je pousse discrètement une porte. Des cris de souffrances envahissent la pièce. Je retiens la porte pour la fermer le plus doucement possible. Le preneur de son me voit et me fait un petit clin d’œil. Je lui envoie un petit bisou. On s’assoit sur une banquette.

Une petite jeune fille, voire très jeune, est en train de se faire prendre en double par deux vieux déguisés en SDF. ...

... Ils se passent une bouteille de pinard en riant et en insultant la gonzesse. On coupe la scène et ils changent de position. Ils sont maintenant debout, face à la petite gueule de l’innocente jeune fille. Ils se branlent et éjaculent sur le visage de la petite.

— Coupez ! Très bien, les enfants, super. Vous pouvez y aller, et à mercredi; n’oubliez pas.

Ils s’en vont. Jean me voit et son visage s’illumine. Il vient vers nous.

— Bin, ma grande, tu as retrouvé le chemin ?

— Oui et non. Je fais visiter à ce jeune homme...

— Et tu l’as testé ?

Je regarde Olivier, il est tout rouge.

— Oui.

— Et alors jeune homme, on veut faire un essai ?

— Euh...

— Non, il est plus mateur qu’acteur.

— Dommage. Bon, allez, je te laisse profiter du décor. J’ai à faire.

On repart, Jacques me tend un "DVD" en me disant que c’était une compilation de scènes où j’apparais. Il me propose même un nouveau contrat. Je lui dis que j’y réfléchirais. Je l’embrasse sur la joue.

On remonte en voiture. On va chez moi et comme par hasard, une voiture quitte sa place. On monte chez moi.

— Tu veux le voir ?

— Oh que oui !

Je le mets sur mon canapé et l’attache fermement. Je veux qu’il profite de mes exploits. Je lui retire son bas, il bande déjà. Je mets en route la vidéo et je vais prendre une douche.

A mon retour, il est scotché face aux images qui défilent. On me voit avec quatre bites, deux dans chaque trou. Un cinquième est en train de me ramoner la bouche.

— ...