Histoires de cocus (extra)ordinaires (9)
Datte: 30/05/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... un frémissement.
— Tu sais, je l’aime ton mari... et j’aime ma femme... et toi aussi... chacun à ma façon. J’suis amoureux de vous trois... qu’y puis-je ?
Et il appuya plus fermement sa main entre mes jambes, tout en se penchant pour se coller à moi et m’envelopper un téton de la bouche. Il bandait. Sa queue était droite, raide, ferme contre ma cuisse.
— Tu veux ?
C’était la première fois qu’il demandait.
— Non, répondis-je mollement.
— Tu veux ? répéta-t-il tout en remontant.
Ses lèvres frôlaient ma joue. Son index et son majeur coulissaient lentement dans mon vagin.
— Non ! repris-je si bas que je me demandai s’il pouvait m’entendre. Et puis j’avais entrouvert mes cuisses... ou plutôt, elles s’écartaient lentement malgré moi.
Ses lèvres se posèrent sur les miennes. Du coup, mes jambes se détendirent complètement et laissèrent libre accès à mon sexe gonflé. Il me pénétra en douceur.
Mes bras se refermèrent sur son dos, mes mains parcoururent le creux de ses reins et mes ongles vinrent se planter dans la chair rebondie de son cul.
Il me fit l’amour "normalement " et c’était comme si on m’avait fait l’amour pour la première fois. A la différence de mon mari, et je ne saurais expliquer comment je le ressentis, j’avais l’impression qu’il me désirait ...
... vraiment.
Il ne me prit pas en levrette, ni dans le cul, ni entre les seins. Il ne me demanda pas de le sucer. Il resta dans ma chatte, variant les angles et le rythme, se tendant parfois sur ses bras pour dégager ma poitrine et venir la manger ou m’écrasant de tout son poids, se mouvant au rythme lent des coups de bite.
Il me fit jouir encore une fois au moment où il expulsa son sperme en moi.
Vint le moment où il fit mouvement pour se retirer, mais je le retins.
— Restez sergent, restez.
— Sergent-chef, dit-il en souriant.
— Restez.
— Nous ne sommes plus fâchés ? On peut se retutoyer alors ?
Je ne répondis pas. Qui ne dit mot consent !
Alors, sa verge encore dure, il se remit au fond de moi. J’avais envie qu’il remette ça et me refasse jouir
.
Cependant, comme il me couvrait de petits bisous et de caresses en m’enveloppant de compliments sirupeux, sa queue se ramollit. Le sperme s’écoulait de mon vagin. Je réalisai alors que, depuis que mon mari ne me baisait plus, j’avais cessé de prendre la pilule.
Je ne suis qu’une salope, dis-je après de longues minutes pendant lesquelles je m’emplis de son parfum et de sa force.
— Tu sais quoi ? répondit-il. On ferait un magnifique couple... ma femme, ton mari... toi et moi...
Et il éclata de rire.
Fin