Histoires de cocus (extra)ordinaires (9)
Datte: 30/05/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... de bites de soldats quand j’en ramenai à la maison... elle t’a raconté ? Mes amants ? Elle y trouvait son compte ! T’es une chienne comme elle... hein t’aimes ça !
— Non... non... arrêtez, dis-je en démentant mes paroles par mon halètement et les ondulations de mon corps.
Mon esprit, ma raison, ma dignité et mon orgueil voulaient qu’il arrête, mais mon corps voulait qu’il continue. Ce fut mon corps qui gagna.
— Non ? tu rigoles ! tu mouilles et tu jouis. Cassez -vous, vous autres ! Allez vous finir ailleurs et demain matin... au rapport ! J’veux des queues droites, des dents propres, des culs lisses et soignés à mon réveil ! Reçu ? Biroulig reste ! Prends-là dans le cul !
— Bien chef, mais j’vais pas tenir longtemps ! J’suis au bord de l’explosion.
— Retiens-toi un peu et quand tu te sentiras venir, sors !
— Bien reçu.
— V’nez là mon capitaine.
Sans lui dire un mot de plus, mais sans doute au moyen d’un geste, mon mari comprit qu’il devait se mettre à côté de moi, dans la même position.
Vidane enfila mon mari et le sodomisa en même temps que Biroulig m’enculait.
Chauffée par Vidane, j’étais désarmée face au mandrin du soldat dur comme de la rocaille. Néanmoins, si ses proportions étaient aussi enviables que celle de l’étalon qui venait de me monter, il savait moins y faire. Mais lui, je n’avais aucune raison de le détester, ce qui finit de me libérer totalement et d’exclure tout regret.
Mon mari et moi jouissions ensemble. J’avais honte, mais ...
... de moins en moins. D’ailleurs, je ne pouvais plus me maîtriser.
— On change !
— On change ? Faut que je... sodomise le capitaine ?
— Affirmatif !
— Vrai mon capitaine ? Je peux ?
— Enfile-moi bordel ! Qu’est-ce que tu attends ! répondit mon mari.
— A vos ordres !
— Moi je te reprends dans la chatte, me dit Vidane comme si je ne m’en rendais pas compte ! Schwanz ! Accourez !
Un soldat, celui que mon mari avait enfilé toute la soirée, parut aussitôt.
— Bouffez-moi le cul et les couilles pendant que je fourre. Biroulig, ralentis, tu vas pas retenir ton jus !
L’homme était vraiment bon. Jamais je n’avais ressenti un tel plaisir et j’atteignis le plus bel orgasme que j’eus jamais connu jusqu’ à lors.
Mon corps me trahissait malgré moi. Il m’avait définitivement livrée au rut.
— Putain, elle jouit bien la garce, vous l’entendez brailler ?
Cela provoqua un surcroît de tension sur le pauvre Biroulig.
— J’vais jouir.
— Sors ! cria le sergent-chef tout en se retirant lui-même de ma chatte.
Il me bascula d’un coup pour que je retrouve sur le dos.
— Sur les nichons ! Vise bien !
Et aussitôt, quelques gouttes de sperme tombèrent sur ma poitrine.
— A toi mon capitaine !
Mon mari s’approcha, se mit au-dessus de moi et se branla pendant que Vidane le galochait fougueusement en lui pinçant un téton. Il éjacula peu après.
— Une femme ça prend le jus dans la bouche dans la chatte ou sur les nibards... un mec ça prend le jus dans la ...