Histoires de cocus (extra)ordinaires (9)
Datte: 30/05/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... bouche, sur la tronche, sur les couilles ou dans le cul ! décréta Vidane sentencieusement.
Puis il posa ses mains sur mes seins, les caressa en étalant le sperme sur tout mon torse et s’allongea sur moi. Il me pénétra en missionnaire. J’étais épuisée et n’opposai aucune résistance. Il y alla doucement d’abord puis accéléra. Mon mari, resté sur place, queue pendante, regardait en silence.
— Mange-moi le cul mon capitaine ! Bien à fond la langue... Hmmmm vous êtes trop bons, un de chaque côté...
Ainsi fut fait jusqu’à ce que Vidane éjaculât en moi en gueulant.
— Une femme, c’est sur les nichons, dans la bouche ou dans la chatte... dans la chatte bordel !
Il retira sa pine et me la fit sucer. C’était gluant, répugnant même au premier abord, mais dans le contexte, je le fis sans hésiter.
Puis il s’en alla, suivi de mon mari.
Je serais bien allée me doucher, mais la salle d’eau était occupée et j’étais recrue de fatigue.
Pourtant, je ne m’endormis pas, du moins pas tout de suite. Je culpabilisais à présent. Je me sentais salie, boueuse, fangeuse. Je m’en voulais de m’être ainsi laissée aller sans pudeur, sans amour propre... d’autant que j’étais couverte de sperme. Je tournai, virai, retournai, suai à grosses gouttes jusqu’à ce que, le temps passant, les meilleurs moments se substituent dans ma conscience au déshonneur. Le souvenir de l’orgasme se superposa à la honte, l’entoura, l’étouffa et je m’endormis.
Une main douce me caressait, les doigts ...
... effleuraient les poils de ma chatte, le souffle chaud de l’homme glissait sur mon épaule. C’était la limite entre le rêve et la réalité, mais j’ouvris les yeux.
— Que fais-tu là ? Casse-toi gros porc.
— Pourquoi ? Tu me tutoies déjà... ta moule est frémissante, dit-il en riant. Tu m’attendais, non ?
— Tu te barres ou je crie !
— Crie ! Tu vas tous les réveiller et on va se réenfiler avant qu’on ait pu se réconcilier. Moi, je veux un moment d’intimité avec toi. On a juste commencé à se connaître hier au soir. Mais il y avait du monde. Là je vais être qu’à toi et vice versa... vice surtout...
— T’es un gros malade ! Tu rêves ! Tu crois que je peux oublier toutes les humiliations ?
— Tu sais, si ce n’était pas moi, ç’aurait été un autre. Ton mari aime les hommes. Il aurait choisi quelqu’un d’autre. Autant que ce soit moi qui ne vais pas le crier sur les toits !
— Va-t’en !
— OK ! On n’a pas été correct avec toi... mais aussi, pourquoi tu nous as balancés ?
Tout en parlant, il continuait à me caresser. J’avais essayé de m’écarter, mais tant que je restai allongée et sur le lit...
— Tu es belle. Tu vois, je viens tout doux pour me faire pardonner. J’ai envie de toi.
— Pas moi !
— Si, bien sûr que si, tu en as envie... sans cela, tu serais partie en courant déjà... tu vois comme je peux être doux... prévenant, amoureux...
Et il l’était, il l’était vraiment... sa main avait glissé de mon pubis à ma vulve. Il y avait inséré un doigt et j’avais déjà eu ...