Histoires de cocus (extra)ordinaires (9)
Datte: 30/05/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
J’étais trop engagée pour reculer, alors je me remis à pomper le soldat Mazac’h et son camarade ; le dénommé Biroulig.
Mazac’h était puceau, mais il me fit l’amour magnifiquement. Je le suçai, alternant avec la bite de l’autre qui prenait davantage d’initiatives. Nous arrivâmes sur le lit. Je ne réalisai pas ce que je faisais. Dix minutes avant, je n’avais jamais touché un autre homme que le mien et là, j’étais en train de faire l’amour à deux inconnus sous le regard de deux autres, car mon mari était dans le couloir avec un garçon qu’il insultait copieusement alors que l’autre gémissait comme une chienne.
Biroulig aimait les seins et la chatte. Il me la bouffait et ne dédaignait pas de pousser jusqu’à la rondelle ; il fut le premier à m’enfiler, m’ayant mise en levrette pour que je puisse sucer Mazac’h. Puis ils tournèrent. C’était très agréable. Lors d’un changement comme Mazac’h quittait ma chatte, j’entendis Vidane dire :
— Encule-là !
— Pas question ! protestai-je !
On me fit bien comprendre que je n’avais pas le choix ; alors j’utilisai l’argument de l’hygiène.
— Eh bien, va te laver le cul, cochonne ! et fissa !
Je fis comme si je n’avais rien entendu.
— Tu y vas toute seule ou on t’y conduit ! C’est rien de te soulever à deux pendant qu’un autre te plongera le tuyau de douche dans le cul... d’ailleurs, je vais m’en charger moi-même.
Je décidai d’obéir pour éviter le contact avec ce gros porc... surtout un contact sur un geste aussi intime. ...
... J’enjambai mon mari qui se faisait sucer, et fit le nécessaire. Cela me prit une dizaine de minutes pendant lesquelles je fus envahie de remords.
Quand je revins, le soldat Mazac’h était couché sur le dos. Ils n’avaient pas tenu parole les salauds ! Vidane le sodomisait et le soldat qui avait été enculé par mon mari essuyait les larmes de sperme qu’il avait propulsé sur le visage du supplicié de la rondelle.
— Tiens là v’la ta chienne... tu vois que c’est pas compliqué de la mettre dans le trou.
On me mit de la vaseline. J’eus mal quand Mazac’h me pénétra, très mal... mais fut plus humiliée encore, car tous les hommes me regardaient, y compris mon mari.
— Roulure, tu voulais pas que je te prenne par là ; mais tu aimes...
— Retire-toi Mazac’h... à mon tour !
C’était Vidane.
— Pas toi, porc répugnant !
— Pas moi ? Tu veux pas savoir ce qu’il aime ton petit mari ? Tu veux pas la prendre ma grosse bite ? Lui, il aime, j’aime mieux te prévenir...
Il était déjà sur moi. Ses mains puissantes s’abattirent sur mes hanches. Il colla sa queue contre ma raie et força.
La dernière chose que je souhaitais, c’était bien me faire prendre par ce type, magnifique pourtant, mais que j’exécrais et qui, plus est, me faire saillir dans cette position dégradante. Je serrai les dents pour ne pas éclater de rage.
— Mazac’h ! présente ton cul au capitaine pour qu’il te lime comme j’vais limer cette chienne.
Le gars obéit.
— Et baisez vous autres ! ordonna-t-il aux ...