Les machinations de Laure (2)
Datte: 27/05/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Lewis Lestrange, Source: Xstory
... bascula en arrière. Ses cuisses se raidirent, repoussèrent mon bassin. Je l’aidai en fléchissant les genoux : ma bite coulissait contre les parois de sa chatte dégoulinantes d’excitation, et l’inconnue voulait profiter de chaque seconde. Elle s’étirait le plus loin qu’elle pouvait en arrière, et je crus que j’allais sortir, mais bandant ses mollets, elle inversa le mouvement et je l’accompagnai en poussant du bassin vers l’avant. Ma bite se précipita au fond de sa chatte, une nouvelle fois. L’inconnue soupira. J’allais la défoncer et elle le sentait. Elle me laissa faire, s’occupant, entre deux souffles, de dégrafer les boutons de ma chemise. Elle l’ouvrit largement, passa une nouvelle fois ses bras autour de mon cou, et m’enlaça. Ses seins ronds, volumineux comme des melons, haut perchés sur sa poitrine, s’écrasèrent contre mon torse. Mes mains avaient repris leur place sous les petites fesses musclées et rebondies, qui désormais allaient et venaient à la verticale sur ma bite, à un rythme de plus en plus soutenu. Je me retins de toutes mes forces mais mon souffle devait l’avertir de mon excitation, et tout à coup, d’un coup de reins d’une violence incroyable, elle se mit à jouir de toutes ses forces. Un cri, un seul, courut dans la maison. L’inconnue s’était immobilisée, pantelante, ma bite au fond d’elle. Elle se concentrait sur son orgasme, ne laissait pas en perdre une sensation.
Elle rouvrit les yeux, me regarda, et pour la première fois j’entendis le son de sa ...
... voix, la tessiture un peu rugueuse, comme si elle avait un chat dans la gorge :
— Encore.
Je confirmai :
— Encore.
— Va me chercher mon portable. Il est dans mon imperméable, dans la poche intérieure.
Je laissai la jeune femme glisser à terre et reprendre pied. Elle s’aventurait dans la maison alors que, me reboutonnant à la va-vite, j’ouvrais la porte.
— Et la perche télescopique aussi !, me jeta-t-elle.
Sur le perron, l’imperméable traînait au sol comme un animal blessé. Je le saisis par le col, tournai les talons, rentrai et refermai la porte derrière moi. La jeune femme avait disparu : elle devait explorer la maison et choisir le lieu de nos prochains ébats. Je fouillai la poche intérieure et y trouvai le téléphone et la perche annoncés. M’en emparant, je suspendis l’imperméable au porte-manteau et je me mis à la recherche de mon invitée-surprise.
Le salon, la cuisine, le bureau ? Personne. Elle sera montée à l’étage. Je grimpe en silence les marches recouvertes de moquette. Un coup d’œil dans la chambre d’amis, dans la mienne : non. Elle n’aura pas choisi la salle de bains. J’avance dans le couloir du palier, alors que la conclusion s’impose à mon esprit, renouvelant mon excitation : l’inconnue a choisi la chambre de Laure. Je m’arrête à la porte. Ma silhouette s’encadre dans le chambranle. La chambre est telle que Laure l’a laissée quand elle a commencé à vivre avec Malo : une étagère emplie de livres et de DVD à droite de la fenêtre, à gauche une ...