1. Les machinations de Laure (2)


    Datte: 27/05/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Lewis Lestrange, Source: Xstory

    ... s’engloutissait dans cette bouche ruisselante de salive, chaude comme une étuve. Cette salope fabuleuse, dans sa nudité toute crue, me gratifiait de la meilleure pipe de ma vie, tirant mes fesses à elle, refusant de remonter tant qu’elle pouvait descendre. Sur le perron de ma maison. Un voisin, un passant, pouvaient nous surprendre à tout moment. Certains, peut-être, nous observaient à la dérobée derrière leurs fenêtres ou leurs rideaux. Je renversai la tête en arrière, râlant de satisfaction : ses lèvres venaient d’atteindre la base. Mon gland avait glissé contre son palais jusqu’au fond de sa bouche, et maintenant qu’elle m’emprisonnait tout entier, sa langue roulait contre le filet, contournait l’épaisseur de ma verge, allait et venait tout le long du membre dont je ne maîtrisais pas les palpitations. Je baissais les yeux vers son visage : le nez écrasé contre le tissu de mon pantalon, elle m’observait toujours, attentive à mes réactions. Elle voulait tenir le plus longtemps possible.
    
    Tout à coup, ç’en fut trop pour elle. Elle se redressa, réprima une brève toux. Un gigantesque fil de salive dégoulinait de sa bouche à mon sexe quand elle m’embrassa à nouveau, écrasant ses seins contre ma chemise. Je lui empoignai les fesses, la soulevai de terre, tandis qu’elle entourait mon cou de ses bras. Sa légèreté me surprit. Pivotant, je la fis entrer chez moi et, d’un coup d’épaule, je fermai la porte d’entrée, abandonnant l’imperméable sur le perron. Dos à porte contre ...
    ... laquelle j’appuyais mes épaules, je sentis les genoux de l’inconnue remonter sur mes hanches, les surmonter, m’enlacer. L’intérieur de ses cuisses serra mon bassin. Mon gland sensibilisé par la salive repérait sa chatte torride et se laissait guider par la seule chaleur. La vulve se posa sur moi avec la tendresse d’une plume tombant sur de la soie. M’enlaçant de tous ses membres, elle renversa la tête en arrière et laissa échapper un long soupir : elle venait de m’accueillir en elle.
    
    Je butai tout au fond de sa chatte : je bandais comme jamais, et le rythme de son souffle me prouvait qu’elle appréciait mon énergie. Nous étions en fusion. Immobiles. Nos corps prolongeaient le plaisir inouï de cette découverte mutuelle. Son vagin palpitait autour de ma verge. Combien de temps restâmes-nous dans cette position ? Une minute ? Dix ? Le temps semble s’arrêter quand l’harmonie des chairs provoque la confusion des sens et la concorde des âmes. A la même seconde, nous nous cherchâmes des yeux. Nos regards se traversèrent l’un l’autre dans un moment de pure grâce et l’évidence s’imposa à nous aussitôt, nous arrachant à tous les deux un même sourire qui devait s’achever dans un baiser fulgurant : nous étions en train de tomber amoureux.
    
    Si cela était possible, cette découverte mutuelle accrut encore notre excitation. D’instinct, je devinai ce qu’elle allait faire : maintenant une main sous ses fesses, je glissai mon autre bras sous le sien, la maintenant au niveau des épaules. Elle ...
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