A nous les petites Indiennes, suite
Datte: 26/05/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Jpj, Source: Hds
... écrasant l’urètre de la base jusqu’au gland pour extraire la moindre goutte de jute spermatique et n’en absolument rien perdre.
Nous avons fini la nuit enlacés apaisés.
Le drap du bas était rèche de laine mal cardée. En sus, la peau de bête tannée qui faisait couverture était fortement odorante.
Sa main endormie était posée sur ma bite, marquant propriété.
Et sa peau indienne était douce et cuivrée.
Moi je dormais comme un bienheureux.
Juste je pensais dans mon rêve, demain, me faudra baiser aussi la gamine...
Français chez les Comanches, strike...
Au matin je dormais encore quand la petite est venue m’attraper par les pieds. Elle a soulevé la peau de bête et m’a chopé les chevilles puis elle a tiré.
Elle était drôlement costaude et me faisait glisser vers le bas du pieu.
La grande, elle, ne lâchait pas ma bite. Elle s’agrippait. Et moi j’étais tiraillé.
En plus, comme toujours au réveil je bandais comme un âne. Les deux filles étaient épatées. Enfin, je crois...
Alors j’ai fait un prompt rétablissement et j’ai filé à la douche après un tendre bisou à chacune des deux squaws.
Elles étaient superbes dans le soleil levant, leurs touffes épaisses et noires cachant chastement leurs intimités.
J’espérais que les flux d’eau chaude calmeraient mon indécente bandaison matinale.
Les filles babillaient en comanche dans la chambre et moi dans la salle bain à côté je n’y comprenais rien. Je pensais, pour la linguistique on est sacrément mal ...
... barrés...
Pour l’équitation faudra voir, mais sans selle sans étriers avec ces mustangs quasi sauvages, ça va chahuter sévère !
Pour le cul par contre, je crois qu’on a tiré le jackpot. Rien que cette idée, alors que j’étais encore là à m’étriller avec la serviette pour me sécher, et j’étais à nouveau triomphant, le gland dégagé et le prépuce disparu, complètement tendu sur la tige sans cou.
Je n’osais pas me présenter ainsi devant les gamines.
Alors, nonchalant, je me suis pointé la serviette pendouillant devant l’abdomen à sécher mes oreilles négligemment, comme qui rigole. Le vrapé camouflant ma bite saillante.
Les deux indiennes étaient couchées à plat ventre sur le lit et me mataient sans vergogne, la tête posée sur leurs mains et les coudes en trapèze. J’ai compris qu’il me fallait faire petit détour pour échapper.
Je leur ai tourné le dos pour enfiler mon boxer.
Honte à moi, le gland, malgré mes efforts, dépassait au delà de l’élastique de ceinture du slip, largement tendu en avant.
Je ne pouvais qu’humblement solliciter les deux petites pour calmer ma turgescence manifestement politiquement incorrecte avant de rejoindre la famille pour le petit déjeuner.
Je pensais, mangent-ils des céréales ou bien ont-ils, dans les réserves indiennes des coutumes différentes pour le petit déjeuner ?
Manifestement les deux filles n’étaient pas décidées à m’aider à réduire mon priapisme. Elles discutaient entre elles et je comprenais qu’elles préfèreraient ...