Comme dans un labyrinthe
Datte: 24/05/2021,
Catégories:
fh,
grp,
campagne,
parking,
fsoumise,
miroir,
Oral
pénétratio,
double,
fdanus,
Partouze / Groupe
Auteur: Ugluk, Source: Revebebe
... angoisse me submerge. Je retrouve ces odeurs maintenant familières de poussière et de ciment qui imprègnent ces lieux. Ici, je ne suis plus qu’une somnambule qui se laisse diriger, au mépris du danger et de la morale, jusqu’au plus profond des mystères inavouables de cette cité. Pourtant, dans ma poitrine, mon rythme cardiaque sonne l’alarme. Il tente de me ramener à la raison. Impossible, je suis déjà totalement soumise à l’influence de la curiosité de mes instincts sexuels les plus pervers. Nous arrivons rapidement devant une vieille porte métallique. La peinture à demi écaillée résiste avec difficulté aux assauts de la rouille. Malgré tout, il est encore possible de lire « CHAUFFERIE ACCES INTERDIT AU PUBLIC ». Julien frappe une série de trois puis de deux coups sur la ferraille qui résonne, vibre sous les chocs et me fait frémir. Un jeune homme, grand, brun, tout juste sorti de l’adolescence, nous ouvre.
— Ha ! Julien ! Entre, ça va bientôt commencer…
Julien ne s’attarde pas, il ne me présente même pas. En fait, la chaufferie est désaffectée. Ce n’est visiblement pas récent, car la pièce, très sombre, ne comporte plus grand-chose qui témoigne de cette activité passée, si ce n’est, une multitude de tuyaux sectionnés qui courent encore le long des murs. Julien m’entraîne jusqu’à une zone où des rideaux et des vieux draps, fixés au plafond, forment une étrange série de paravents. Le jeune homme ne nous suit pas. Julien écarte les draps et nous fraye un chemin à ...
... travers ce labyrinthe de voiles. Nous y découvrons plusieurs paquets de vêtements rangés soigneusement sur le sol à l’intérieur de ce qui pourrait être comparé à de petites cabines. Le tissu filtre le peu de lumière qu’il y a dans la pièce et nous avançons doucement. Je ne cherche pas à deviner quoi que ce soit, me contentant de me laisser guider jusqu’à l’emplacement libre recherché. Julien ne dit rien, entretenant ainsi le suspense. Il se retourne soudain vers moi et, dans un tourbillon de baisers gourmands et incendiaires, il me déshabille entièrement. Il me câline encore pendant qu’à son tour, il se met à nu.
Le garçon me prend alors par la main et me guide sous le tissu qui glisse avec une certaine sensualité sur ma peau nue, qui s’excite maintenant de ce contact. Nous rencontrons de plus en plus de difficultés à avancer, car la densité des draps devient telle que nous sommes obligés de nous mettre à quatre pattes pour nous infiltrer dessous. En fait, ce sont même des couvertures que nous soulevons maintenant. Enfin, nous terminons de franchir tous ces obstacles. J’en aurais été fortement soulagée si nous n’étions pas arrivés, finalement, dans un endroit entièrement plongé dans l’obscurité la plus totale. Julien me tient toujours la main. Le sol, moelleux, est certainement recouvert de tapis en mousse. Je me relève doucement et, toujours guidée par la main de Julien, je marche vers l’inconnu. Soudain, le garçon me lâche. Dans ce noir absolu, je cède instantanément à la ...