Comme dans un labyrinthe
Datte: 24/05/2021,
Catégories:
fh,
grp,
campagne,
parking,
fsoumise,
miroir,
Oral
pénétratio,
double,
fdanus,
Partouze / Groupe
Auteur: Ugluk, Source: Revebebe
... panique. Mes mains cherchent désespérément mon guide.
— Julien, où es-tu ?
— Chut ! Ici il ne faut surtout pas parler ! Seuls les corps ont le droit de s’exprimer… me murmure-t-il.
Il ne fait pas froid pourtant ma peau se couvre de frissons. Je tremble. J’ai envie de sortir au plus vite de cet endroit. Je m’apprête à crier lorsque subitement une main se pose sur mon dos, remonte sur mon omoplate pour redescendre lentement le long de mes hanches.
— Julien ?
— Chut !!!
Je ne suis même pas capable de dire si c’est lui qui m’a répondu et l’idée que ce puisse être une autre personne me fait peur. Pourtant, la main est douce, très caressante, trop caressante… Minutieusement, comme le ferait un aveugle, cette paume chaude explore mes formes. Tétanisée, je n’ose plus faire le moindre geste. Privé de vue, je tente d’exploiter au mieux le reste de mes sens. Je perçois de légers bruits, je sens des odeurs de parfums différents qui se mêlent. Oui, aucun doute, nous ne sommes pas seuls dans cette pièce. Je brave l’interdiction de parler pour tenter de me rassurer :
— Julien ?
Pas de réponse. Une deuxième main vient de se poser sur mon corps dénudé. Je suis morte de peur. Je force sur ma vue, pourtant rien n’y fait. Mon esprit est tellement accaparé à scruter désespérément l’obscurité que je me rends à peine compte que ma peau fait toujours l’objet de palpations de plus en plus impudiques. Lorsque je réagis enfin, ces attouchements m’effrayent tellement que je reste ...
... sur place, paralysée par ces mains anonymes. Leurs passages provoquent de bien coupables voluptés, que mon corps transforme en de délicieux frissons qui irradient honteusement l’ensemble de mes zones érogènes. D’ailleurs, les doigts semblent parfaitement comprendre l’état d’excitation qui s’empare de moi. Ils profitent alors, sans état d’âme, de ma fragilité et ont même l’audace d’aller s’assurer de ma féminité là où aucun doute ne peut être permis. Après une petite excursion dans ma toison, les doigts écartent agilement le sillon gonflé de mon sexe pour atteindre et enflammer mes replis intimes. Les phalanges paraissent parfaitement à leur aise et elles jouent à agacer mon jardin secret, poussant l’audace jusque dans la moiteur coupable de mon sexe. Y ayant constaté leur efficacité, les doigts se livrent maintenant à un étrange rituel : par petites touches successives, ils semblent lire le moindre petit relief de ma vulve, tout comme le ferait un aveugle décryptant un texte en braille.
Je ne peux pas rester de marbre face à ça. Alors je me cambre et je facilite l’accès à ces phalanges déchaînées qui font voler en éclats les derniers restes des remparts de ma pudeur. Pendant ce temps, l’autre main ne reste pas inactive. Elle cherche une à une toutes mes zones érogènes et, chaque fois qu’elle en localise une, elle lui prodigue de délicates caresses. J’éprouve de grandes difficultés à retenir ma respiration pour guetter le moindre bruit autour de moi. Je ne parviens même pas à ...