Comme dans un labyrinthe
Datte: 24/05/2021,
Catégories:
fh,
grp,
campagne,
parking,
fsoumise,
miroir,
Oral
pénétratio,
double,
fdanus,
Partouze / Groupe
Auteur: Ugluk, Source: Revebebe
... marches en béton. Curieuse, je suis mon guide. Une porte grinçante donne accès à une pièce destinée à parquer les vélos et cyclomoteurs. Les murs sont couverts de graffitis obscènes et le sol est jonché de pièces mécaniques usagées, abandonnées là dans la poussière sur le ciment taché d’huile et de cambouis. Julien ouvre une seconde porte et nous débouchons sur une multitude de couloirs sinueux, sinistrement silencieux, qui s’entrecroisent. De nombreuses gaines de plomberie et colonnes de soutien se succèdent entre les innombrables portes de caves.
Une odeur de renfermé, de poussière et de ciment âpre m’emplit les narines. Ce lieu a quelque chose d’étrange et même à la limite d’angoissant. Je ferais demi-tour si la curiosité de savoir ce que Julien veut me montrer n’était pas là pour me doper. Nous descendons encore un étage. Seule ici, je pourrais facilement me perdre dans un tel labyrinthe. Pourtant Julien se dirige visiblement sans difficulté. Je remarque que certaines portes de cave ont été forcées, parfois cassées lorsque la serrure résistait. D’autres ont été tellement renforcées pour lutter contre le vandalisme qu’elles semblent être carrément blindées.
Finalement, nous arrivons devant une cave que rien ne différencie des autres, sinon le fait qu’elle est la dernière du couloir. Julien positionne les molettes du cadenas à combinaison sur les bons chiffres avant de me demander de fermer les yeux pour entrer. Me tenant par la main, il me guide à l’intérieur. ...
... J’entends le petit claquement d’un interrupteur. Il me faut lutter contre ma curiosité pour ne pas tricher. Il me fait faire encore quelques pas avant de m’autoriser enfin à ouvrir les yeux.
— Waouh ! fais-je éberluée par le décor peu banal que je découvre.
La cave a été complètement transformée en une sorte de palais des glaces miniature. De grands miroirs, semblables à ceux que l’on trouve sur les portes des armoires modernes, tapissent entièrement les murs, le sol et le plafond de cette pièce. Notre image nous est renvoyée sous plus d’une quinzaine d’angles différents. J’ai l’impression d’avoir atterri dans un décor de conte de fées, à la fois irréel, amusant et intriguant. Je m’amuse à faire quelques grimaces et je constate que les miroirs ont été savamment orientés pour me permettre de me voir simultanément de face, de profil, de dessus et de dessous.
Julien me regarde jouer, puis passe derrière moi, se fraye un chemin entre mes cheveux et dépose un baiser voluptueux contre ma nuque. Instantanément, mon corps se couvre de frissons. Je lève les yeux et j’observe amusée cette scène que reflètent les glaces. La bouche de Julien s’acharne dans mon cou, remonte pour mordiller le lobe de mon oreille droite et replonge jusqu’à ma nuque. Je me tortille sous l’effet du souffle chaud, des titillements de la langue et des succions de la bouche coquine, et je lutte pour ne pas fermer les yeux et me laisser ainsi emporter pleinement par ces délices de sensualité. Les mains chaudes ...