1. Latifa reprend du service


    Datte: 13/05/2018, Catégories: f, ff, fff, asie, cadeau, prost, nympho, bizarre, amour, fsoumise, fdomine, humilié(e), vengeance, jalousie, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, pied, Masturbation Oral fdanus, jouet, zoo, sm, donjon, attache, BDSM / Fétichisme baillon, yeuxbandés, fouetfesse, Humour aventure, Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... séance tenante à Waldeck, sans même te laisser le temps d’enfiler la moindre culotte, en te traînant à poil devant tous les mecs de ma compagnie jusqu’au lieu de ta garde à vue ! C’est ça que tu veux ?
    
    Pour toute réponse, je lui tends mes deux poignets réunis, prête à subir stoïquement les menottes et l’humiliation publique. De grosses larmes toutes rondes de colère et de chagrin mélangés roulent sur ses joues. Elle sanglote, puis est obligée de se moucher. Son rhume n’arrange rien. Moi qui la croyais inoxydable, je découvre maintenant sa fragilité. Un temps de silence nous permet de mesurer le fossé qui vient de se creuser entre nous.
    
    — Fais-le, dis-je finalement. Met-moi hors d’état de nuire : je le mérite.
    — Comme ça, tu serais fouillée au corps, à poil, et puis envoyée dans une prison surpeuplée, en cellule avec plein d’autres femmes avec lesquelles tu pourrais t’en donner à cœur joie, sans parler des matonnes dont certaines seraient peut-être à ton goût. Je suis certaine que tu y prendrais ton pied, et qu’il y aurait de quoi raconter des tas d’histoires coquines. Et puis, j’aurais l’air fine en expliquant au procureur que la criminelle la plus recherchée de Nantes s’est cachée pendant trois mois, devine où ça ? À mon domicile personnel ! Pas question ! Tu vas t’habiller d’une manière décente, prendre tes affaires, et foutre le camp de chez moi avant qu’il s’écoule trois minutes, c’est compris ?
    
    Mon silence additionné à l’inaction ne fait rien pour la ...
    ... calmer.
    
    — Tu as l’air d’une fillette qui attend benoîtement de recevoir sa fessée après avoir consciemment fait n’importe quoi. Ne dit rien, je peux lire dans tes pensées : tu voudrais que je de donne une fessée magistrale, bien sévère, avec de belles marques rouges, et qu’ensuite on oublie tout et qu’on reparte à zéro. Et si ce n’est pas encore assez strict, que cela ait lieu devant tout le monde, cul nu, par exemple, sur la place du Pilori, au centre-ville, comme au moyen-âge. J’ai raison ?
    
    Elle a raison, mais je ne l’écoute plus. Sa voix se perd dans un brouillard sonore. J’ai la capacité à m’évader dans mes songes quand la réalité devient trop pénible. Ses leçons de morale ne m’intéressent pas : elles sont bonnes pour les gamines d’un collège privé de bonnes sœurs en cornettes. Dans ce domaine, j’ai déjà donné, d’ailleurs cette éducation a fait de moi ce que je suis. Je regrette si sincèrement le mal que je lui ai fait que voudrais expier par un châtiment physique qui soit à la hauteur de ma faute.
    
    Pour toute réponse, je hoche seulement un petit « oui » de la tête.
    
    — Bien tiens. Mais ce n’est pas comme ça que ça marche, avec moi. Ce n’est pas si facile. Tiens, petite question : elle se cachait où, pendant que nous nous échangions des câlins, le soir et le week-end ?
    — Dans ta cave, dois-je lui avouer en m’habillant. Tu n’y vas jamais.
    — Ah, OK, elle est futée, et pas trop à cheval sur son confort, c’est bien. Poursuivons l’interrogatoire : est-ce que tu as fait ...