1. Latifa reprend du service


    Datte: 13/05/2018, Catégories: f, ff, fff, asie, cadeau, prost, nympho, bizarre, amour, fsoumise, fdomine, humilié(e), vengeance, jalousie, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, pied, Masturbation Oral fdanus, jouet, zoo, sm, donjon, attache, BDSM / Fétichisme baillon, yeuxbandés, fouetfesse, Humour aventure, Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... rhabiller correctement, de sorte que leurs jambes entravées par les vêtements ne leur permettent pas de courir, et elles chutent de tout leur long, le derrière en l’air.
    
    Je vois Nolwenn courir vers une porte dérobée. Elle tient en main une mallette, sans doute remplie des billets de la recette qu’elle ne veut pas abandonner. Apparemment, elle est parvenue à se libérer et l’issue de secours qu’elle a trouvée n’est peut-être pas surveillée de l’extérieur. Auquel cas, elle parviendra à s’échapper afin de commettre de nouveaux méfaits : il faut absolument l’en empêcher ! Sans prendre le temps de me rhabiller, je fonce à sa poursuite. Elle aussi est nue, ayant été dépossédée par Élodie de son costume écarlate.
    
    Dehors, il pleut, d’une pluie dense et froide, mais bienfaisante après ce que je viens de subir, et dont je ne ressens aucunement la froidure. Je découvre que l’endroit où nous nous trouvons se situe en bords de Loire, près d’une sablière aux longues grues rouillées. La nuit est déjà tombée, mais la pleine Lune nous éclaire depuis une trouée parmi les nuages. Nolwenn, désorientée, a pris une mauvaise direction et se trouve bloquée par un méandre du fleuve. Elle hésite à s’y jeter pour le traverser à la nage, craignant d’être emportée par le courant. C’est une hésitation que je mets à profit pour la rattraper. En chemin, elle a été obligée de se débarrasser de sa mallette qui la ralentissait.
    
    Nous avons les pieds dans l’eau boueuse, qui est froide, mais nous n’en ...
    ... avons cure. La bagarre s’engage. Elle est plus grande et plus robuste que moi, mais la colère est mon alliée. Rapidement, nous tombons dans le bain et l’enjeu pour chacune consiste à maintenir l’autre sous l’eau afin de la noyer. Le combat reste longtemps indécis, ponctué de « han ! » rageurs et des vents violents qu’elle envoie sous l’effort, effet secondaire odorant et sonore du laxatif. Je me retrouve immergée, la tête bloquée par les puissantes cuisses qui m’empêchent de me relever, la bouche contre son sexe. Je crois que je vais boire la tasse tout en lui prodiguant un ultime cunnilinctus. Après tout, crever la tête bloquée dans une chatte n’est pas la pire des destinées.
    
    Alors, pressée par l’urgence, je fais ce que le code de la morale lesbienne interdit formellement en toute circonstance, à savoir mordre résolument dans le clitoris, à pleines incisives, ce qui est d’autant plus facile que le petit organe est tout gonflé de l’excitation de me voir bientôt noyée. La douleur, accompagnée d’un hurlement, lui fait aussitôt interrompre cette étreinte quelque peu inconfortable pour moi. Cela m’autorise à respirer à nouveau, juste avant l’explosion de mes poumons. J’en profile pour lui bloquer les bras et mettre fin à la confrontation. Nos épidermes sont intégralement recouverts d’une boue épaisse et grasse, ce qui nous rend méconnaissables au clair de lune.
    
    Élodie arrive enfin sur le lieu de la confrontation. Incapable de savoir qui est qui, elle nous tient toutes les deux ...
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