Latifa reprend du service - Histoires de Sexe

Latifa reprend du service

... donc dans le second cas. La posture dans laquelle elle a été retrouvée ainsi que l’expression du visage le confirment. Donc, en réalité… elle a été chatouillée et masturbée d’une manière si extrême que cela a entraîné son décès. Il a dû falloir environ une à deux heures de ce traitement avant le son cœur lâche, à cause d’une stimulation excessive du système nerveux. De plus, en examinant les membres avec attention, on constate qu’elle était attachée d’une manière très ferme, mais avec des ceintures suffisamment larges et nombreuses pour ne pas causer de blessures, contrairement à ce que l’on observe trop souvent avec des malandrins qui saucissonnent leurs victimes pour leur voler leurs biens. Là, on peut dire qu’à ce niveau, elle a été traitée en douceur. Par contre, le fait que l’on puisse perdre la vie du fait de chatouillements, alternés avec une action masturbatoire très intense, est proprement stupéfiant. Pendant des années, je me demandais si c’était possible : curiosité que vous pourrez trouver déplacée, mais qui reste professionnelle. Aujourd’hui, enfin, j’en ai la confirmation.
— Donc, reprend Élodie, en des termes un peu plus familiers, tu penses qu’elle a été chatouillée et branlée à mort, c’est ça ?
— C’est bien cela, mais en l’absence d’un témoignage direct des faits, cela reste à prouver. Contrairement à ce que l’on observe souvent avec les victimes que l’on retrouve dénudées, elle n’a pas été violée. Je suis même certain qu’elle était vierge. Pas la moindre ...

... trace de sperme sur les autres parties de son corps, non plus. Quant à l’objet contondant qui a servi à lui assener un plaisir mortel, ce devait être l’un de ces gros vibromasseurs qui se branchent sur le secteur. Mon épouse en possède un et son aptitude à monter au septième ciel à l’aide de cet instrument est toujours, quand je la regarde faire, une source sans fin d’émerveillement. J’ai voulu pratiquer sur elle l’expérience du bondage masturbatoire et chatouilleux, mais hélas, elle n’a pas voulu. Que voulez-vous, les héroïnes ne courent pas les rues, et elle n’a pas voulu accéder au statut de martyre de la science.
— Elle a été attachée sur une table ou un fauteuil avec des sangles, résume Élodie, pensive, puis on lui a fait subir ce que font des couples adeptes du sadomasochisme, mais à un niveau extrême au point qu’elle en est morte.
— Vous avez déjà pratiqué cela, s’enquiert le médecin légiste ? Si oui, je serais bien curieux de recueillir votre témoignage.
— Il m’est déjà arrivé, il y a deux ans, de pratiquer ce genre de bondage pour un film, dis-je. Car j’ai aussi été actrice porno dans une vie antérieure, d’une manière certes éphémère. C’était violent, et pourtant, il y avait un mot de sécurité pour tout arrêter, et je l’ai prononcé. Ma partenaire m’a fait tellement jouir, sans que je puisse bouger, que je n’en pouvais plus. Puis elle m’a chatouillée : au bout d’un moment, cela devient insupportable. Je n’ai pas de problème pour comprendre que cette pratique puisse ...