1. Latifa reprend du service


    Datte: 13/05/2018, Catégories: f, ff, fff, asie, cadeau, prost, nympho, bizarre, amour, fsoumise, fdomine, humilié(e), vengeance, jalousie, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, pied, Masturbation Oral fdanus, jouet, zoo, sm, donjon, attache, BDSM / Fétichisme baillon, yeuxbandés, fouetfesse, Humour aventure, Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... sommeil bizarre, comme s’il avait été provoqué par un somnifère. Quand je m’éveille, la Doctoresse et Nolwenn sont à mon chevet. Celle-ci tient un plateau sur lequel se trouvent un repas chaud et un sac plastique.
    
    — Tiens, voilà des vêtements : je me suis dit que tu devais avoir froid. Et faim, aussi : je t’ai cuisiné ton plat préféré, des lasagnes à la bolognaise.
    
    Cela tombe bien, car je suis affamée. D’abord, je me rhabille, car j’ai assez joué les naturistes. Tout en mangeant accroupie sur le lit, je découvre soudain la trace d’une piqûre sur mon bras gauche, juste à l’endroit où l’araignée m’a piquée dans mon rêve.
    
    — C’est quoi, ça, m’entendent-elles protester en montrant mon bras ? Vous m’avez injecté des saloperies pendant que je dormais ? Un aphrodisiaque, c’est ça ?
    — Calmez-vous, dit la Doctoresse. Nous avons constaté, grâce à la vidéosurveillance, que son efficacité sur vous est tout à fait satisfaisante, mais reposez-vous, et son effet passera tout seul.
    
    En colère, je la saisis par le col de la blouse, par surprise, et comme elle est légère, ses pieds décollent du sol.
    
    — Ne refaites plus jamais ça, ou je vous casse la gueule.
    
    Elle saisit précipitamment son pistolet dans la poche de sa blouse.
    
    — Vous n’êtes pas en situation de me menacer de quoi que ce soit.
    — Du calme, Feng, intervient Nolwenn. Range ton flingue, tu vas blesser quelqu’un. Laisse-la se reposer.
    — Je n’ai pas sommeil. J’ai assez dormi comme ça.
    — Dans ce cas, quand tu auras ...
    ... fini ton repas, cela te dirait-il de visiter mes installations ?
    — Si tu veux.
    
    Toutes les trois, nous franchissons différentes coursives et escaliers pour arriver dans le vaste hangar où se trouve une scène. Au centre, le fameux fauteuil, à la forme générale identique à celui de la Doctoresse, mais avec des chromes brillants, parfaitement astiqués, et différents ornements bizarres comme des têtes de mort en bois, sculptées à l’extrémité des accoudoirs. L’assise et le dossier sont capitonnés de cuir rouge du plus bel effet, au point qu’il semble confortable en dépit de l’usage pour lequel il a été conçu.
    
    — J’ai fait poser les cuirs chez un artisan maroquinier, dit Nolwenn. Un menuisier réputé a fait le reste. Cela m’a coûté une petite fortune, notamment pour le prix de leur discrétion, mais je suis très fière de cet outil de travail qui par ailleurs me rapporte beaucoup.
    — C’est dément, fais-je d’une voix blanche.
    — Feng, tu veux bien nous laisser ? Je veux discuter en privé avec mon invitée.
    — Comme tu veux, dit-elle.
    
    Il y a de la déception dans sa voix, car elle imaginait m’infliger ici la séance de torture dont elle a été frustrée dans son pseudo cabinet médical. Dès qu’elle a disparu, j’ai la surprise de voir Nolwenn se déshabiller et s’asseoir dans le fauteuil.
    
    — Je voudrais que tu m’attaches et que tu me chatouilles, demande-t-elle. S’il te plaît.
    — Mais tu n’as pas peur que je m’enfuie, après t’avoir ligotée ?
    — Toutes les issues sont verrouillées.
    — ...
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