Dévergondage d'une jeune fille de bonne famille (2)
Datte: 16/05/2021,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Erika Sauw, Source: Xstory
... regardant s’éloigner, je me demandai si elle allait se faire brouter la chatte. Elle était tout aussi décolletée que moi et ses jambes étaient nues. C’était de la bonne chère bien tendre et plus fraîche que la mienne, avec deux ans de moins.
Le goût du sperme de Michel subsistait sur ma langue.
— Il ne faut pas vous soucier de mon mari, déclara Thérèse. Il m’aide à la maison dès qu’il le peut.
— Il cuisine ? demanda Jocelyne.
— Oui, il nous a fait une salade niçoise la fois dernière.
— J’aime les hommes comme lui, dit Jocelyne en donnant un coup d’ œil à mon père, qui détourna les yeux.
Thérèse portait une robe assez stricte, s’arrêtant à ses genoux. Les années l’avaient rendue rondelette et sa peau avait mal vieilli, bien qu’elle n’eût guère dépassé la cinquantaine. Elle avait retiré le peu de charme qui lui restait en se coupant les cheveux, mais elle conservait une poitrine volumineuse.
Michel réapparut rapidement avec Mélanie, ce qui montra qu’il ne s’était rien passé entre eux. Ma sœur portait deux bouteilles de soda frais. L’invité revint s’asseoir à sa place, à côté de mon père et face à moi, de l’autre côté de notre grande table en plastique. Le crépuscule restait assez vif pour que les lumières du jardin n’eussent pas besoin d’être allumées, mais il y avait deux bougies parfumées sur la table.
— Ta fille est une perle, déclara Michel à Étienne, mon père.
— Elle est gentille et dévouée, répondit celui-ci, flatté.
— J’ai envie de lui ...
... faire visiter mon usine. Ça ne vous dérange pas ?
— Oh, non, bien sûr !
— Et Mélanie également, tant qu’à faire. Je sais que pour des jeunes filles, il y a des promenades plus intéressantes à faire que dans une usine, mais...
— Non, c’est parfait ! Vous aurez d’autres occasions de vous promener ensemble.
Étienne savait parfaitement qu’il était bon, pour les futures diplômées que nous étions, ma sœur et moi, de se faire des relations hauts placées. La fréquentation de son ancien patron s’imposait.
— La semaine prochaine ? proposa-t-il.
Nous choisîmes un jour, Mélanie et moi, mais ce délai d’attente me parut trop long. Mon entrecuisse était toujours aussi humide et cette cyprine ne datait pas de mon passage dans la cuisine. C’était l’effet que Michel continuait à produire sur moi. De plus, j’étais très excitée d’avoir la chatte nue devant ma famille et nos invités, sans que personne ne pût la voir puisque mes jambes étaient sous la table.
Je me touchai le sexe en regardant Michel, le bas-ventre envahi de frémissements. Tant qu’il serait là, mon ardeur ne se calmerait pas. Je cherchai à atteindre l’une de ses jambes en levant un pied, mais je n’arrivai pas à le trouver.
Ce fut seulement à la fin de la soirée que je pus lui adresser la parole en aparté, en l’entraînant dans un coin du jardin où nous nous parlâmes sous l’éclat des étoiles. Il mit une main sur mon épaule, comme en signe de possession. Je ne me rebiffai pas, car j’étais à lui.
— Ce serait bien ...