1. Dévergondage d'une jeune fille de bonne famille (2)


    Datte: 16/05/2021, Catégories: Erotique, Auteur: Erika Sauw, Source: Xstory

    ... un gland d’où ma salive dégoulinait.
    
    Michel était aux anges. Il me caressa les cheveux, les joues, les épaules puis les seins. Sa bite délaissée avait des mouvements d’oscillation qui me poussèrent à en reprendre le contrôle, mais avant, Michel la passa sur mes joues. Quand elle fut près de ma bouche, j’en profitai pour la gober.
    
    La fellation fut reprise à un rythme accéléré.
    
    — Tu deviens bonne, jugea Michel entre deux gémissements. Va plus vite. Je veux remplir ta bouche de salope.
    
    Je lui obéis. Il poussa un cri rauque et des projections d’un liquide gluant et tiède m’emplirent la bouche. Je goûtai au sperme pour la première fois de ma vie, le trouvant bizarre, mais pas mauvais. J’avalai tout avant de nettoyer le gland de Michel avec le bout de ma langue.
    
    — Tu aimes ça ? fit-il.
    
    — Je préférerais que tu remplisses mes deux trous avec ta longue queue.
    
    — Ça viendra, ma belle catin. Apprends à patienter. Je te propose de revenir dans ta chambre pour te changer. Mets une petite jupe ou une petite robe sans culotte et présente-toi devant ta famille comme ça, la chatte à l’air. Ne nettoie pas ta mouille et garde le goût de mon sperme dans ta bouche. Je m’occupe de la vaisselle.
    
    Je quittai la cuisine après avoir ramassé mes vêtements, le cœur battant, et je m’envolai vers le premier étage. La maison étant grande, je pouvais quitter la cuisine sans être aperçue du jardin. À mon arrivée dans ma chambre, ayant compris que je ne devais compter que sur moi-même ...
    ... pour connaître cet orgasme tant désiré, je me jetai sur mon lit, les jambes largement écartées, et j’attaquai ma vulve à grands coups de doigts. Je n’avais pas allumé la lumière, mais j’avais laissé la porte ouverte, si bien que toute personne passant dans le couloir aurait pu me surprendre dans cette position indécente, mais je savais bien qu’il resterait vide. J’avais l’impression de devenir moi-même en me comportant de manière immorale et il n’y aurait pas de retour en arrière.
    
    Sous le ponçage de mes doigts trempés, la jouissance me gagna et je dus me mordre la lèvre pour étouffer mes cris. Mon corps s’enflamma comme une botte de paille desséchée et une main posée sur mon sein gauche attisa ce feu. Après mon orgasme, je restai étendue dans la même position, comme morte, puis je me levai brutalement pour chercher un vêtement à enfiler. Je choisis une robe légère, qui découvrait le dos. Elle était plus sexy que mon précédent costume.
    
    À mon arrivée dans le jardin, Michel n’était pas encore revenu.
    
    — J’ai dû me changer parce que je me suis éclaboussée, me justifiai-je.
    
    — Et Michel ? Qu’est-ce qu’il est en train de faire ? s’inquiéta Jocelyne, ma mère.
    
    — Il m’a dit qu’il s’occuperait de la vaisselle.
    
    — Mais il ne faut pas le laisser tout seul ! s’indigna Jocelyne. Va le retrouver !
    
    — Et si c’était le tour de Mélanie ? fis-je me tournant vers ma sœur, assise à ma droite.
    
    Elle fut obligée d’acquiescer, de se lever et de se diriger vers la maison.
    
    En le ...
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