Dévergondage d'une jeune fille de bonne famille (2)
Datte: 16/05/2021,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Erika Sauw, Source: Xstory
... Michel. Je suis un vieil ami de la famille.
— D’accord... Euh... Michel, pourquoi veux-tu me parler des garçons ?
— Je suis juste curieux. Tu as un copain ?
— Oui... C’est un camarade de classe.
— Vu ta manière de parler de lui, ça n’a pas l’air d’être le grand amour.
— Eh bien... je me pose des questions.
— Si tu étais amoureuse de lui, tu ne t’en poserais pas. Vous couchez ensemble ?
Sa question me fit rougir violemment, mais je soutins son regard perçant.
— En quoi ça vous regarde ? répondis-je, le souffle court.
— Parce que si jamais tu étais toujours vierge, je trouverais ça dommage.
L’audace de Michel m’époustouflait, mais en même temps, je me sentis capable d’avoir une conservation intime avec lui, alors qu’avec mes parents, cela me paraissait impossible.
— Apparemment, tu l’es toujours, insinua-t-il.
— Et alors ?
— Tu es en train de rater quelque chose de très important. Pour être réussie, ta vie sexuelle doit commencer maintenant.
— Si je la commence dans deux ou trois ans, ça changera quoi ?
— Il y a de belles occasions qui te seront passées sous le nez. La vie d’étudiante est la meilleure occasion de faire des rencontres, mais elle est courte.
— Le plus important n’est pas que je réussisse mes études ?
— Tu les réussiras, je n’ai aucun doute là-dessus, mais la recherche du bonheur passe aussi par l’accomplissement sexuel.
Mon souffle devenait de plus en plus court. Le regard de Michel en disait plus que tous ses ...
... mots. Il avait une manière très incorrecte de s’attarder sur mes jambes et sur les courbes de ma poitrine, révélées par mon débardeur et par l’absence de soutien-gorge. Il faut dire que mon short moulant était assez provocant, mais ce n’était pas pour attirer les hommes que je l’avais mis.
— Je serais heureux d’arriver à te décoincer, dit-il.
— Comment ? fis-je d’une voix rauque.
— Tu sais sucer une bite ?
Ma réaction suffit à lui faire comprendre que la réponse était négative.
— Tss... tss... Tu es vraiment beaucoup trop sage », déclara-t-il.
Il parcourut la faible distance qui nous séparait et posa la main sur l’une de mes hanches. Je restai tétanisée sur place, mes narines emplies d’une puissante odeur de mâle qui me mettait les sens en folie.
— Qu’est-ce que tu veux faire ? bafouillai-je.
— Ce n’est pas évident ?
— Mais, mes parents...
— Entrer dans la cuisine est la dernière idée qui leur viendrait à l’esprit. Ils te laissent avec la vaisselle et avec moi.
Il s’empara de mon short afin de le baisser et eut la joie de découvrir une petite culotte tachée par ma liqueur intime.
— Et tu ne feras rien dans la vie sans audace, compléta-t-il.
Ce fut cette fois ma culotte qui glissa sur mes jambes. J’avais de bonnes raisons d’avoir peur, car si ma mère me voyait déshabillée par leur invité, elle me hacherait menu. Et je n’osais pas imaginer la réaction de Thérèse, l’épouse de Michel. Pourtant, les transgressions dont je me rendais coupable ...