Un alibi crapuleux (1)
Datte: 14/05/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: Victor_lepieux, Source: Xstory
... elle, elle avait le feu à la chatte. Je suis sérieux, elle laisse tomber sa jupe, et elle n’avait rien en dessous, juste son porte-jarretelles et ses bas. Elle commence à se doigter en me regardant avec mépris. En deux secondes je rebande et je commence à la baiser bien comme il faut, cette salope... Je lui enfonce ma bi…
— Ok… on a compris, abrégeais-je, mais c’était il y a un mois. Et puis, c’était une pute, c’est évident.
— Oh non, c’était une vraie et authentique salope. Une de celle qui n’a qu’un objectif dans la vie ; un bon coup de queue. Et c’était il y a un mois, c’est vrai, mais le problème c’est que se faire tringler une fois, ça ne lui suffisait pas ! Une chiennasse comme ça, elle doit se faire démonter tout le temps... Elle voulait vraiment que je la baise toutes les nuits… Elle m’a même menacé, si je ne la baisais pas, de demander à quelqu’un d’autre. Et je la croyais sans mal, c’était une assoiffée du cul. Par la suite, elle m’a donné son adresse pour que je vienne chez elle pendant que son mari travaillait de nuit. Alors vous comprenez, dès que le soleil se couche, j’entre chez elle et je la défonce, et aujourd’hui, pareil, j’avais ma queue dans sa chatte.
— Je préfère vous prévenir, une femme qui trompe son mari, son témoignage ne vaudra pas grand-chose…
— Mais justement depuis une semaine, il n’y avait pas qu’elle. C’est là où ça devient… curieux. Un soir, je la limais comme d’hab. J’étais bien occupée à lui défoncer la moule et elle, elle criait ...
... comme une truie. Du coup on ne faisait pas bien attention aux alentours. Je finis par décharger dans sa chatte, et me retourne. Et là, je vois quoi ? Sa fille !
Parce qu’elle a une grande fille de dix-neuf ans qui va à la fac en province. Alors évidemment la mère est surprise et s’affole. Elle explique qu’elle ne trompe pas vraiment son père… Que c’est juste arrivé comme ça, que c’est un accident… bref, le n’importe quoi qu’on sort dans ce genre de situation. Moi je suis évidemment assez gêné. Mais la fille, elle, pas du tout. Tout cela semble follement l’amuser… Et il y a une bonne raison pour ça... Comme sa mère, c’est une grosse salope. Je n’aime pas être vulgaire, vous le savez, mais il n’y a pas d’autre terme. La mère avait le feu au cul et la fille était accro à la bite. Alors ni une, ni deux, la voilà qui se met à nous faire chanter ; elle racontera tout à son père… Sauf si je la baise.
— Ça devient n’importe quoi cette histoire, l’interrompis-je.
— Vous ne me croyez pas ? C’est pourtant la vérité. Pendant que mon patron se faisait tuer, moi j’alternais les coups de queue entre la mère et sa fille. Enfin, pour être honnête, je donnais surtout des coups de queue à la fille. Elle a une de ces chattes… Miam, c’est du velours, on entre dedans et l’on se croit au paradis. La mère s’en rendait compte, alors elle se décarcassait : elle m’offrait son cul ou me suçait la bite toute entière. Et ce juste après qu’elle soit sortie toute trempée de la mouille du con de sa ...