1. Un alibi crapuleux (1)


    Datte: 14/05/2021, Catégories: Trash, Auteur: Victor_lepieux, Source: Xstory

    ... aime les hommes plus vieux qu’elle, ça ne devrait pas être trop difficile pour moi, hein ? Baiser la femme de son boss, enfin ex-boss, c’est quand même top, lui il bouffera des vers, moi je boufferais la chatte de sa femme… Je me régale déjà. Enfin, pourquoi vous me regardez comme ça ? C’est normal, non ? Je suis sûr que vous, vous rêvez de baiser la femme de votre commissaire, non ? »
    
    Certainement pas. La femme du commissaire était une vieille rombière tout ce qu’il y a de plus hommasse. Alors que ma délicieuse épouse était d’une beauté et d’une élégance qui faissait la jalousie de tout le poste de police. En tout cas, ce qui était sûr, c’était que ce type était un gros porc.
    
    « Donc vous avez un mobile... Vous le détestiez, et vous montez en grade.
    
    — Je ne veux pas vous apprendre votre métier, mais ça fait deux mobiles, je crois. Pas mal, hein. Et je suis très sérieux pour sa femme, vous savez ce que je veux vraiment ? C’est la prendre sur le bureau de son époux, là où il me recevait pour m’engueuler. Je vous jure que maintenant c’est sa femme qui va gueuler, elle va faire des "Oooooh !" et des "Aaaaah !". Je lui déchirerais sa jupe et j’enfoncerais ma grosse bite dans sa chatte bien chaude. Elle va aimer ça, la sagouine. Elle va même en redemander. Je vais lui gicler dans son abricot... vous savez qu’ils n’ont pas eu d’enfant ? Comme ce serait drôle si elle en avait un de moi. »
    
    L’affaire allait être encore plus simple que je pensais. Et je commençais à ...
    ... vraiment me réjouir de mettre cet espèce de sale con en prison. Il rigolerait beaucoup moins quand il devra attendre vingt ans avant de pouvoir retoucher à une chatte ou à un nichon… Surtout qu’il ne ressortirait qu’à quatre-vingts ans, il ne pourra plus faire grand-chose de sa queue. Quoiqu’il ne devait pas faire grand-chose à la base, ses fanfaronnades n’étaient que pures divagations, des fantasmes ridicules. Il avait plus de soixante ans, une calvitie avancée, un bon surpoids, et une tête ronde de pervers... Qu’il puisse penser à coucher avec une femme qui ne soit pas juste intéressée par son fric, c’était tout simplement grotesque.
    
    « Je crois qu’on a très bien compris vos intentions vis-à-vis de la veuve. Maintenant, je crois que vous pouvez nous dire la vérité : vous avez tué Monsieur Morfort…
    
    — Non, bien sûr que non.
    
    — Allons, si vous dites toute la vérité sans nous faire perdre notre temps, le juge vous en sera gré.
    
    — Bon très bien...
    
    — Alors vous l’avez tué ?
    
    — Non... pas contre la veuve, je vais pas seulement que lui baiser la chatte. Je compte bien lui fourrer l’oignon aussi. Je préférais ne pas vous le dire par décence, mais si vous voulez toute la vérité... »
    
    Je me redressais de mon siège et tapais du poing sur la table. Avec mon mètre quatre-vingt-dix, j’étais assez impressionnant. La plupart des prévenus y réfléchissaient à deux fois avant de se foutre de moi.
    
    « Ça suffit comme ça ! Nous savons que vous l’avez assassiné. L’arme du crime vous ...
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