1. Un alibi crapuleux (1)


    Datte: 14/05/2021, Catégories: Trash, Auteur: Victor_lepieux, Source: Xstory

    ... même pas demandé ce que je faisais à l’heure du crime.
    
    — Parce qu’on sait ce que tu faisais ! répliquais-je. Tu plombais ton patron.
    
    — Mais non !
    
    — Vraiment ? Alors qu’est-ce que tu foutais ?
    
    — Je… j’en sais rien.
    
    — Super, très convaincant, le meilleur alibi que j’ai jamais entendu…
    
    — J’en sais rien, parce que je ne sais pas quand il est mort ! Vous me prendriez pas pour un con ?
    
    — Bon, si tu veux jouer au plus malin… Il est mort hier à onze heures. Alors qu’est-ce que tu faisais ? Laisse-moi deviner, tu dormais chez toi, dans ton lit et personne ne peut le confirmer…
    
    — Non ! Enfin si… peut-être…
    
    — Monsieur Medville, interrompit Sandrine, votre réponse est-elle "oui", "non" ou "peut-être" ? Ce sont des réponses un peu différentes, vous savez.
    
    — Eh bien, c’est qu’il y a bien quelqu’un qui peut confirmer que je ne tirais pas sur mon patron à cette heure. Mais c’est délicat.
    
    — Mais bien sûr, me moquais-je. Jamais vous ne dévoileriez le nom d’une femme avec qui vous avez une relation. Ce serait trop vulgaire pour vous, je suppose, pas assez gentleman.
    
    — Ben, un peu. C’est que c’est une femme mariée, voyez-vous.
    
    — Monsieur Medville, vous risquez vingt ans de prison, expliqua Sandrine, alors si vous avez une personne qui peut témoigner en votre faveur, vous n’avez pas d’autre choix que nous dire son nom.
    
    — Je comprends, mais c’est que… c’est vraiment crade. Il serait peut-être mieux que Mademoiselle sorte de la pièce.
    
    — Mademoiselle, ...
    ... se moqua Sandrine, voit des cadavres toutes les semaines. Vous pouvez y aller, j’ai l’estomac solide.
    
    — Si vous y tenez, mais je vous aurais prévenu, c’est du salé. Ma relation avec la dame a commencé il y a environ un mois. Je l’ai rencontrée un soir dans un bar. Elle se plaignait que son mari soit toujours absent la nuit. A priori à cause de son métier, mais n’empêche que du coup elle s’emmerdait dans son lit. Et puis, c’était une bombasse. Un cul monté sur des échasses, on n’a qu’une envie, qu’elle se penche pour l’enfiler. Et puis ses seins... je sais pas quel bonnet elle faisait, mais elle aurait fait une opération que ça ne m’aurait pas surpris.
    
    En tout cas, je bavarde avec elle, comme un gentleman, vous pensez bien… Et voilà qu’elle me dit qu’elle veut se faire sauter. Vous imaginez la salope ? Comme ça, sans hésiter, au bout de cinq minutes… Elle ne pensait qu’à ça. Alors moi, je suis toujours là pour rendre service. On va dans les chiottes du bar, et j’ai à peine le temps de descendre mon pantalon et mon slip qu’elle se met à me sucer ! Et c’est vraiment une bonne suceuse, sa langue, vous ne me croiriez pas si je vous disais ce qu’elle arrive à faire avec. J’avais l’impression de me faire aspirer le zgeg. Forcément, je lui déchargeais dans la bouche. Du coup elle n’est pas contente… Mais pas parce qu’elle avait dû avaler mon foutre ! Oh non, ça elle adore, mais parce que je ne lui avais pas baisé la chatte avant de jouir.
    
    J’ai déjà connu des chaudasses, mais ...
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