1. Luce bourgeoise adultère malgré elle (8) : Le poissonnier piégé par une queue de… poisson.


    Datte: 12/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Reveevasion, Source: Hds

    ... Oui, fou de ne pouvoir jamais t'avoir !
    
    - C'est vrai ? l'interrogea-t-elle avec une pointe de coquetterie dans une voix qui reprenait de sa majesté.
    
    - Je n'ai pas terminé de te le prouver, fit-il avec un sourire de gourmandise irrésistible.
    
    - Voyons ça ! et elle se redressa pour poser sa main sur le paquet qui gonflait le pantalon de moleskine. Elle aima le contact avec le tissu un peu raide mais glissant sous ses doigts interrogateurs. Elle prit plaisir à jauger le calibre du pénis qui s'annonçait d'une taille impressionnante, descendit soupeser les couilles comprimées, puis, habilement, défit chaque bouton de la braguette avant de partir à la course au trésor. Celui-ci était lourd, épais, disproportionné avec sa tige démesurément longue et ses testicules en jumelles subsidiaires. Elle roula son pouce sur le gland fier à l'ambition justifiée et aima découvrir le méat en y roulant son pouce avant de lui promettre le déluge. Il avait maintenant le visage fermé de celui qui ne peut plus attendre l'estocade à porter. Il lui faisait penser à la gravité du matador préparant son épée pour achever la faena endiablée.
    
    - Tire-moi ! C'est mon tour !
    
    Ces mots ou plutôt ce cri contenant à la fois l'attente intenable, le désir d'appartenir au séducteur, le besoin de sceller la conquête, la soif d'un plaisir absolu furent entendus et encore mieux compris par Léon qui vint s'agenouiller entre les cuisses ouvertes de la femme. Elle entendit glisser la moleskine du pantalon et ...
    ... deux mains fermes et larges la saisirent à la taille pour la faire venir face à sa bite pantelante. Elle écarta ses cuisses encore prisonnières de la jupe troussée. Elle s'étonna lorsque les doigts arrachèrent sa petite culotte et sursauta quand les mains écartelèrent ses cuisses provoquant un craquement de jupe irréparable. Elle ferma les yeux à l'arrivée du gland qui fouilla sa toison avant de venir s'appuyer sur le nids apprêté de douceurs, de viscosités, de turgescences, de suintements, de bouillonnements, de turbulences… Une premier assaut quelque peu retenu lui arracha néanmoins une plainte encourageante, lorsqu'elle sentit l'intrusion indiquant le franchissement du point de non-retour. Léon s'arrêta un long moment pour mieux savourer son bonheur et augmenter l'attente de sa partenaire et restant à genoux devant elle il empoigna fermement ses petites fesses pour l'attirer à lui. Elle s'empala sans pouvoir réagir sur le chibre énorme qui immédiatement prit possession en totalité de son vagin, aspiré par les effets des sécrétions lubrifiantes. Les deux mains, en étreignant les fesses, imprimèrent un rythme endiablé où se mêlaient les cris désordonnés de Luce, les grognements bestiaux de Léon, les gargouillis visqueux de la chatte, les claquements des corps en folie… Il dut s'arrêter pour ménager la durée de leur plaisir. Elle put reprendre son souffle et un peu de sa maîtrise pour lui sourire. Le voyant à genoux et dressé devant elle, le regard hébété, les cheveux baignés ...
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