1. Le tableau noir.


    Datte: 12/05/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... enfoui mon visage dans son cul. Humant à plein poumons les odeurs fortes qui s’en dégager. Saoulé par les vapeurs, j’ai plaqué ma bouche sur son anus. M’efforçant tant bien que mal, d’y introduire ma langue. Son trou était étroit. Mais après avoir bien œuvré, j’ai réussi à l’amollir et j’ai pu le violer partiellement.
    
    Enfonçant la pointe de ma langue dans son rectum. Y découvrant un goût amer. Comme celui du pur cacao. J’ai poussé, pour la lécher plus profondément. Soudain, son cul s’est ouvert et ma langue s’y est enfoncée presque entièrement.
    
    Je me devais de m’arrêter là. Avant que la chance tourne et me fasse surprendre dans une situation pas très adéquate.
    
    J’ai bordé le pied du lit avant d’aller rejoindre ma couche. Où j’ai libéré ma verge, ainsi que mes testicules bien gonflés. Que j’ai dans la seconde suivant dans ma main droite. Sur un rythme lent et tout en humant mes doigts, je me mis à me masturber. Et cela jusqu‘à sentir venir l’éjaculation.
    
    Elle vint, brutale et violente. Un long jet chaud gicla de mon sexe, immédiatement suivi par d’autres, qui tous vinrent maculer mon torse, mon ventre. J’avais pleinement savouré cette décharge.
    
    Le lendemain, je retrouvai mamie au petit déjeuner. J’étais extrêmement gêné et je me demandais comment je pouvais encore lui faire face avec ce qui était arrivée cette nuit…
    
    Et ce fut sur ce dernier mot que je rendu ma copie. Pas une seule minute je n’ai regretté ce que je venais d’inscrire. Tout au contraire, ...
    ... j’étais impatient que Francine nous rende les copies les semaines suivantes.
    
    Quand vint enfin le jour, où elle a distribué les copies corrigées, elle n’avait pas manqué comme à son habitude d’allouer les honneurs aux exposés qu’elle jugea les plus méritants. Je ne fis pas parti de celle là. Je décernais même chez elle une mimique ironique en s’approchant de ma table, et posant ma copie. Que je m’empressais de m’en saisir.
    
    10/20. Brillant mais superficiel…
    
    L’appréciation aurait pu s’appliquer à l’ensemble de ma vie. Je me suis demandé s’y je devais, oui ou non m’en préoccuper. Je me suis senti rougir d’une rougeur envahissante qui me brûlait le visage et me faisait suffoqué. Un instant, j’eus envi de m’enfuir en courant. Une panique de quelques secondes, qui s’évanouit peu à peu.
    
    S’installant derrière son bureau, son regard revint vers moi. Elle semblait chercher une phrase. Mais aucun son n’est sorti de sa bouche. J’ai accroché son regard. Elle ne m’intimidait pas. Comme aucune femme ne m’intimidait.
    
    Heureusement les jours passaient, et les vacances approchées. Francine m’avait comme oublier. Ce qui n’était pas pour me déranger. Elle restait égale à elle-même. Je me demandais si elle avait lu mon exposé jusqu’au dernier mot.
    
    Suite à notre dernier cour, Francine m’a demandé de rester quelques instants en sa compagnie, qu‘elle avait quelque chose à voir avec moi. Mon cœur battait la chamade, qu’allait-elle me dire ? J’avais subitement bien chaud. Elle était restée ...