1. Le tableau noir.


    Datte: 12/05/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... plongé ma tête la première, sous les draps. Quelle imprudence folle ! Me diriez-vous. Mais à cet instant je pense que mon cerveau se trouver à la hauteur de ma verge.
    
    J’étais dans la place, dirigeant le faisceau sur la fourche. Illuminant une toison abondante grisonnante comme pouvait l‘être celle d’une femme de soixante et treize ans. Comme elle s‘amusait de le dire à tue-tête à qui voulait l‘entendre.
    
    J’ai aperçus les nymphes ourlées d’un rose virant au marron près du clitoris. Centimètre après centimètre, j’ai avancé le visage. Offert par la proximité, j’ai retrouvé avec joie la puissante essence délivrée par son intimité. Subjugué par tant d’appas j’ai amené dans un premier temps mon nez au-dessus de la vulve. C’était extraordinaire jusqu’à l’instant qu’elle choisit pour bouger. Je fus tout de suite submergé par un vent de panique. Au point de me redresser, et de me planquer sous le lit. Faisant travailler mes méninges pour savoir ce que je pourrai bien lui dire sur le fait de ma présence près d’elle.
    
    Des idées désordonnées traversèrent mon esprit. Au stade où j’en étais, j’ai décidé de profiter à fond de ce qui m‘était donnée. L’audace de la situation me fit oublier toute prudence. Au point d’y retourné. De ramper de nouveau jusqu’à sa fourche.
    
    J’ai libéré ma langue pour qu’elle aille goûter la saveur des poils. C’était salé, mais c’était bon. Mais j’en voulais encore plus. Alors, j’ai niché ma langue dans la béance humide et gluante. L’absence de réaction de ...
    ... la part de ma grand-mère me conforta dans mon idée. À me croire tout permis, et ce fut sans la moindre précaution, que j’ai léché et sucé le con de ma mamie qui produisis un jus abondant, qui vint enrober ma langue vicieuse.
    
    Comment dans un sommeil si profond, on puisse continuer à s’écouler ainsi ? Je préféré laisser la résolution de cette énigme pour plus tard. À tête reposée…
    
    Après le goût et l’odeur, il restait l’exploration tactile. Fidèle à ma malice, j’ai persisté dans mes mauvaises idées. Enfonçant mon index ainsi que le médius à l’intérieur de sa fente, entre ses poils rêches. J’étais à cet instant incapable de me maîtriser. Alors j’y allé carrément. Les deux doigts tendus, pour lui mettre bien à fond. M’engluant dans cette chatte onctueuse. J‘y suis allé comme un malade. Je l’ai branlé vicieusement. L’odeur de son cul a envahi l‘espace. Et tandis que mes doigts s’enfonçaient rythmiquement dans ce con moelleux, de l’autre main, je lui ai titillé le clito. Qui, peu à peu, bourgeonna. Je le vis se gonfler comme une minuscule pine, devenir rouge grenat. Elle mouillait comme une truie. Je triquais comme une bête. J’avais une envie dingue de jouir. Je parvins à me raisonner. Je me dis que ça gâcherait tout. Pas de pénétration hormis mes doigts.
    
    Préférant me saisir à pleines mains les deux fesses et leur fit subir un pelotage en règle. Les malaxant, les écartant à loisir pour mieux les examiner. Faisant par ce geste, faire apparaître son anus serré et mauve. J’ai ...