1. Le tableau noir.


    Datte: 12/05/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Alainylon, Source: Hds

    Ma prof de français s’appelait Francine. Jeune femme, que je soupçonnais être célibataire. Pas moins élégante. Grande et élancée, la trentaine, cheveux châtain clair. Je me plaisais pendant les heures passées en sa compagnie, de reluquer ses rondes formes sous les vêtements ambles qu’elle portait. C’était le seul cours où je m’autorisais à m’asseoir dans les premières places.
    
    Elle a attendu que toute la classe se soit assise pour ce lever de derrière son bureau, et de se diriger d’un pas lent jusqu’à la porte d’entrée qu’elle a fermé. Je n’ai pas pu m’empêcher pendant ce laps de temps d’aimanté mon regard sur les escarpins qu‘elle portait aux pieds. Puis tout de suite après sur ses mollets gainés de nylon couleur pêche.
    
    Il ne m’en fallut pas plus pour déraisonner. À me poser plein de question. À savoir qu’elle sorte de culotte qu’elle portait sous son vêtement. De qu’elle couleur elle pouvait être. Sans doute jaune. Assortie à sa robe. D’y deviner les effluves qui devaient se dégager de son entrecuisse. Avec de telles pensées, il ne m’en fallu pas plus à ma verge de se trouver un peu à l’étroit dans mon slip.
    
    Pour le plus grand plaisir de mes yeux, Francine s’immobilisa devant le tableau noir. À seulement quelques mètres de la place où je me trouvais. À l’aide de ses doigts manucurés, elle s’est saisie d’une craie blanche et avec agilité, elle a inscrit :
    
    « Narrer un passage marquant lors de votre dernier mercredi » puis elle s’est retournée pour nous dire :
    
    - ...
    ... Vous avez pour ça toute la durée du court. Soit deux heures. Pas de question ?
    
    Il y a bien eu comme souvent en pareille circonstance, deux, voir trois questions ridicules. Qu’elle jugea sans importance. Au point de ne pas donner une réponse.
    
    - Bon maintenant. Lança-t-elle. Je ne veux plus entendre.
    
    Il y eu bien encore quelques blagues sortis par-ci, par-là avant que le silence se fasse dans la salle. Ma première réflexion, fus de me demander ce que j’avais bien fais la veille qui vaille être mentionné sur un exposé ?
    
    Francine La prof a attendu que nous nous mettions au travail pour prendre place derrière son bureau. Je profitais d’être dans ma réflexion pour de nouveau poser mon regard sur ses escarpins. Que les vingt centimètre de vide entre le bas du bureau et le sol me permettaient de distinguer. Je crus dans un premier temps m’être fait prendre en flagrant-délit de voyeurisme. Tant je jugeais son attention se portant dans ma direction. Mais heureusement pour moi je concluais que sa vision était plus lointaine. Tout en réfléchissant à ceux que j’allais bien pouvoir inscrire sur ma feuille, je jetais de temps à autre un coup d'œil à ses pieds. Qui se mirent à bouger en toutes sortes de mouvements. Une animation que je trouvais pour ma part très érotique. Il m’en fallait pas moins pour faire monter en moi du désir. Que mon imagination s’en est servi pour faire germer un sujet. Qui n’était qu’autre un besoin, une envie d’exciter ma candide enseignante. Et j’allais ...
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