1. La machine à laver


    Datte: 10/05/2021, Catégories: fh, fhh, hagé, couple, couplus, extracon, cadeau, cocus, inconnu, nympho, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, double, fsodo, Humour totalsexe, Auteur: Alain Allain, Source: Revebebe

    ... idéologies de psychopathes afin de diffuser l’image de cette Ève nue dans ses escarpins, soulevant ses gros seins, exhibant ses tétines, glissant ses doigts dans son sexe glabre ou entre ses fesses cambrées, la planète Terre se serait arrêtée face à Vénus pour un rite d’adoration masturbatoire mondialisé. Le pape lui-même aurait béni la scène d’unasperges me sûrement plus consistant que l’eau bénite.
    
    Bien que les spectateurs ne fussent que trois, Maryse n’en fit pas moins son show de Miss Univers. Non pas comme une strip-teaseuse professionnelle qui ouvre niaisement la bouche et roule exagérément des hanches, mais comme une femme ordinaire dont la raison bascule devant des queues tendues vers elle. Elle poussa Mustapha vers la table et le fit allonger en travers du plateau de bois de manière à ce que la tête se renverse à une extrémité et les jambes pendent à l’autre. Alors elle vint coller son bas-ventre contre le visage renversé et offrit ses chairs à la dégustation. Ne voulant perdre aucun avantage de la situation, le chef, qui avait jeté loin sa salopette, s’en vint glisser son champignon entre les jolies fesses et, collé à la Callipyge, lui pétrit les seins sans souci de ménagement.
    
    Vincent, pourtant aveugle aux détails de l’opération, imaginait aisément le barbotage de la langue et les frictions occultes de la boule du chef contre l’anus de sa petite femme. Le taureau en rut soulevait les seins en pinçant les tétons, léchait à pleine langue le cou de la jeunette ...
    ... et lui suçait l’oreille jusqu’à la faire disparaître dans sa bouche. Le voyeur savait combien ces manœuvres pouvaient plaire à son épouse et en ressentit une forte jalousie. Jalousie qui lui provoqua un nouveau jet de semence lorsque Maryse offrit sa bouche à l’haleine du fumeur alcoolique, bâfreur d’aïoli, qui la fouilla avec une avidité grossière sans tarir ses coups de boutoir entre les fesses. Le baiser choqua le mari davantage que les sucettes qu’elle venait de prodiguer.
    
    Afin de reprendre souffle, l’épouse s’arracha aux farfouillages des deux langues et fit le tour de la table pour y grimper à califourchon au-dessus du Maghrébin. Le mari n’en crut pas ses yeux. La vue qu’elle offrait de ses orifices intimes était d’une impudeur extrême. Cambrée, le cul en l’air, les seins écrasés sur la moquette pectorale, elle passa une main sous son ventre et, avec une fièvre visible, empoigna la queue de Simplet, l’ajusta à son coquillage et s’y embrocha volontairement. Deux longs râles s’envolèrent à l’unisson. Vincent faillit tambouriner à la porte du placard ;« Non ! » Elle dépassait les limites du contrat qui devait se borner à des provocations. Il souffrait, mais il bandait ;« Salope ! »
    
    Le gros pilon, qui retenait toujours la nuisette, brillait de mouille. Les petites lèvres roses qu’il écartelait secrétaient courageusement la liqueur nécessaire à la lubrification. Comme s’il fût complice du mari voyeur, le gardien de chèvres empoigna sa proie par les fesses et, bien en ...
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