1. La machine à laver


    Datte: 10/05/2021, Catégories: fh, fhh, hagé, couple, couplus, extracon, cadeau, cocus, inconnu, nympho, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, double, fsodo, Humour totalsexe, Auteur: Alain Allain, Source: Revebebe

    Dans les épisodes précédents :
    
    Fantasme ou illusion ?Un jeune marié s’était fait du souci au sujet de son épouse qui tardait à revenir d’une visite dans des WC publics dans lesquels la cloison de séparation était pourvue d’un trou pour voyeurs.On passe à l’acteVincent avait suspecté des penchants pour le voyeurisme compromettant sa jeune épouse. Grâce aux motivations de cette dernière, ils étaient passés à l’acte. Cette fois, elle pousse le bouchon un peu plus loin que prévu.
    
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    Si le besoin est souverain, de son côté, le choix du lieu pour le satisfaire est souvent laissé au libre arbitre. Dans le jardin, Hubert cherchait précisément le piquet de clôture contre lequel il allait uriner. La matinée était avancée et les passants qui arpentaient la rue le long du grillage de clôture ne le dérangeaient pas ; il s’en fichait même royalement. Il finit tout de même par trouver le piquet idéal et l’aspergea. La gamine qui passait sur le trottoir au même instant et qui le regardait faire ne l’empêcha pas de continuer son aspersion. En revanche, la camionnette qui s’arrêta devant l’entrée l’alarma sérieusement, surtout quand deux types en sortirent pour s’approcher du portail. Hubert dut alors s’interrompre et courir sous le porche d’entrée pour donner l’alarme :
    
    — Wouah ! Wouah !
    
    « Driiiing »
    
    — Wouah ! Wouah !
    
    Maryse alla ouvrir et passa la tête dans le maigre espace de la porte qu’elle entrebâillait.
    
    — C’est pour quoi ?
    — ...
    ... La machine à laver, Madame.
    — Une minute, je viens vous ouvrir, dit-elle en s’éclipsant.
    
    Les deux hommes allèrent déplier les portes arrière de leur J7 pour en dégager un gros emballage cartonné pendant que Maryse faisait irruption dans la chambre à coucher.
    
    — C’est la livraison, annonça-t-elle. Allez, lève-toi !
    — Déjà ? s’émut le mari qui, à plat ventre sur le lit, dans son pyjama, s’efforçait de lire un journal.
    — Allez, au poste, vite, le pressa-t-elle, en dévissant un bâton de rouge à lèvres.
    — Chérie, tu es sûre que… ?
    — Ils sont deux, interrompit-elle en se badigeonnant la bouche.
    — Deux ? On n’avait pas prévu ça…
    — On n’avait pas prévu ça parce qu’on est bête ; comment veux-tu qu’un type transporte seul une machine à laver ?
    — Avec un diable.
    — C’est pas le moment de parler religion, faut que j’aille leur ouvrir ; allez, ouste, à la cuisine, dit-elle en le poussant hors de la chambre.
    — Wouah ! Wouah !
    
    Maryse ouvrit cette fois la porte en grand et, vêtue d’un long peignoir rose, s’en alla faire claquer ses sandales à talons le long des dalles de grès jusqu’au portillon d’entrée.
    
    — Wouah ! Wouah !
    — Assez, Hubert ! Allez, à la niche ! ordonna-t-elle en déverrouillant la serrure.
    — Il ne mord pas ? demanda le plus âgé en s’engageant dans le jardin.
    — Il n’a jamais rien mordu d’autre que sa queue.
    — Tant que c’est pas celle des autres… marmonna le bourru.
    
    À petits pas, le pesant volume à bout de bras, les deux hommes parcoururent l’étroite ...
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