Je me fais défoncer par mon oncle (22)
Datte: 09/05/2021,
Catégories:
Divers,
Auteur: tomflavie, Source: Xstory
... chaque côté de sa poitrine, et exhiba un soutien-gorge de dentelle noire. Et toujours en me fixant de ce regard de pute en chaleur, elle le dégrafa par le devant, faisant ainsi apparaître deux obus, plus gros que je me les imaginais. Ses magnifiques mamelons brun pâle d’environ 5 centimètres de diamètre et parfaitement dessinés, regardaient droit devant eux et étaient dotés de tétons assez longs et bien durs.
Toujours agenouillée devant son défunt mari, elle se tourna légèrement pour se retrouver dos à moi. Elle prit mes deux mains, les monta sur ses nichons et renversa sa tête sur mon épaule.
Ils étaient gros, chauds, doux et bien fermes. Je pinçai et étirai ses tétons d’environ 1 centimètre de longueur entre mes pouces et mes index, ce qui la fit gémir un peu plus fort. Je parlais dans son oreille.
— Si tu savais ce que te me fais, petite pute !
— C’est bon mon père, continuez... Mmmmh...
— Tu aimes te toucher ?
— Mmmmh... oui...
Sans se faire prier, elle descendit sa main gauche sous sa robe, et commença à caresser sa chatte. Sa respiration s’accéléra. Immédiatement, elle recula son cul, le colla sur ma bite et commença à valser des fesses.
— Oh, ...
... mon père ! Votre bite est grosse ? Vous aimez mon petit cul qui la frotte ?
— Espèce de petite cochonne... Tu aimes le cul, hein ?
— Oh oui, mon père, j’adore le cul...
— Tu me montreras ? Je n’ai pas... je n’ai jamais...
— Oh ! Je vais tout vous apprendre mon père... continuez... pincez mes tétons... plus fort... Mmmm...
J’obéis.
— Putain, ce que c’est bon, mon père ! Vous allez me faire jouir...
Elle était maintenant très excitée.
— Et tu me montreras comment te défoncer ?
— Oh oui, mon père... vous me défoncerez comme la dernière des putes, comme j’aime...
— Et je pourrai t’enculer ?
— Oh oui ! Autant que vous voudrez. J’ouvrirai mon cul de salope pour votre grosse bite, mon père...
M. le curé massait mes gros nichons et ayant repoussé le devant de ma culotte sur le côté, je caressais ma chatte qui dégoulinait. Je n’avais pas baisé ou sucé depuis une semaine. J’étais en chaleur comme jamais auparavant !
Je me faisais masser les nichons par le curé, je me caressais la chatte devant le cercueil contenant mon mari et j’étais près de l’orgasme...
À cet instant, je venais de passer au stade supérieur des salopes.
Suite bientôt...