1. Je me fais défoncer par mon oncle (22)


    Datte: 09/05/2021, Catégories: Divers, Auteur: tomflavie, Source: Xstory

    Immédiatement, je sentis ma queue commencer à se raidir. Cette petite salope était vraiment trop bandante. Je ne l’avais jamais vraiment remarquée avant toute cette histoire. À son mariage, je l’avais trouvée jolie, mais sans plus. Mais depuis sa confession... depuis que je sais le genre de salope qu’elle est... Putain, la chienne !
    
    Je fis quelques acrobaties pour cacher la bosse qui se formait sur le devant de ma soutane et je m’approchai des deux familles réunies devant le cercueil de Pierre. Je me dirigeai vers Marie qui m’avait vu arriver.
    
    Je devais absolument la toucher, n’importe où, n’importe comment. Je mis ma main sur son épaule en signe de compassion et je sentis un courant électrique traverser tout mon corps. Elle se rapprocha de moi et me fit un sourire las. Son parfum était exquis et me fit chavirer. Ma bouche s’assécha et je ne pus que bredouiller un « je suis désolé » (pour la mort de son mari) pas très convaincant.
    
    Je quittai le groupe, soulagé, car mon érection se formait de plus en plus, et m’installai sur une chaise au fond de la petite salle qui serait bientôt encombrée de gens venus soutenir la jeune veuve et les familles endeuillées.
    
    Je choisis un emplacement d’où je pouvais voir Marie en tout temps. Elle était magnifiquement sexy. Ses grands yeux, ses lèvres charnues, sa poitrine généreuse et le galbe de ses jambes... du moins la partie visible et elle semblait porter un joli cul bien rond.
    
    Plus je la regardais, plus je m’imaginais en ...
    ... train de la défoncer et plus ma queue durcissait.
    
    Porter une soutane à ses avantages. Comme je n’avais pas mis de slip, je pus fourrer mon énorme bite en liberté entre mes cuisses pour l’empêcher de se mettre au garde à vous et me rendre mal à l’aise. Ce n’était pas très confortable d’être presque assis sur ma queue, mais comme on dit : il faut ce qu’il faut !
    
    Puis, les gens commencèrent à arriver.
    
    Marie pleura beaucoup en recevant les condoléances. Je n’avais qu’une envie : la serrer dans mes bras, non pas pour la consoler, mais bien pour sentir ses gros nichons s’écraser sur mon corps. On aurait dit que je n’avais plus de sentiments à part l’envie presque irrésistible de la toucher et profiter de son corps pour finalement baiser cette petite pute.
    
    Je la fixais, regardant cette bouche qui avait sucé la queue de son frère et qui, peut-être un jour, sucerait la mienne et qui avait sûrement avalé des litres de sperme. Je me l’imaginais en train de se faire enculer en levrette, ses gros nichons se balançant pour finalement être recouverts de semence. Je la voyais se faire claquer son petit cul pendant qu’elle se faisait fourrer comme une chienne et recevoir une dose de foutre sur son joli visage de salope.
    
    STOP ! Je vais jouir sous ma soutane sans me toucher ! J’allai prendre une marche à l’extérieur pour tenter de me changer les idées, mais rien n’y fit. Je ne voyais que cette petite garce se faire limer le trou. Mon cœur battait la chamade, je n’entendais et ne ...
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