1. Je me fais défoncer par mon oncle (22)


    Datte: 09/05/2021, Catégories: Divers, Auteur: tomflavie, Source: Xstory

    ... ses épaules de mon bras gauche. Puis, cessant quelques secondes de pleurer :
    
    — C’est trop injuste... Pourquoi ? Pourquoi ? Je l’aimais tellement... Pardonne-moi, Pierre... Et elle se remit à sangloter.
    
    Comme je n’avais pas de réponse à lui offrir, je me mis à frotter son dos comme une maman qui veut consoler son enfant après un gros chagrin. Je frottai en descendant toujours un peu plus bas jusqu’à la naissance des fesses, puis je remontai aux épaules et à la nuque. Je descendis encore plus bas et cette fois, ma main toucha légèrement sa fesse gauche.
    
    Comme elle ne réagit pas, je recommençai. La nuque, les épaules, le dos... et le cul. Cette fois, j’y allai franchement, serrant ses fesses entre mes doigts, les palpant, les frottant. Elle se détacha de moi quelque peu.
    
    — Mon père ! Mais qu’est-ce que vous faites ?
    
    C’est à ce moment que le Diable s’empara de mon esprit, et dès cet instant, je ne fus plus jamais le même. Je me mis à dire des obscénités et je devins, en l’espace d’une fraction de seconde, l’être le plus vicieux, le plus décadent et le plus dépravé que je n’avais jamais rencontré. Je ne me reconnaissais plus et je me foutais de tout ce qui pourrait m’arriver.
    
    — Tu es une petite salope toi, hein ?
    
    Elle se retourna sa tête vers moi, surprise.
    
    — Quoi ? Mon père ! De quoi parlez-vous ?
    
    Elle tentait de se dégager, mais, il me semblait, sans trop de conviction.
    
    — Oh oui, t’es une petite pute...
    
    Je continuais de pétrir son cul bien ...
    ... ferme.
    
    — Arrêtez ! Je vous défends...
    
    — Je sais bien que t’aimes te faire tripoter le cul. C’est toi qui me l’as dit en confesse, petite chienne.
    
    Elle commença à se calmer et cessa de tenter de se dégager, et je sentis, très légèrement, qu’elle se collait un peu plus sur moi.
    
    — Mon père je...
    
    — Tu aimes te faire enculer, hein petite garce ?
    
    — Mon père...
    
    — Et la bite de ton frère, tu aimes la sucer, hein ?
    
    — Mon... Mmmm...
    
    — Et du foutre ? Tu en as avalé combien de litres, salope ?
    
    J’étais terriblement excité. Je lui donnai une claque sur les fesses qui la fit réagir d’un petit gémissement. Les saloperies sortaient de ma bouche et ça me rendait vraiment cochon. De ma main droite, je me mis à masser ses gros nichons. Elle ne réagit pas... elle ne réagirait plus désormais.
    
    Ma main gauche lui tripotant toujours le cul, elle se mit à soupirer, doucement au début, puis de plus en plus fort jusqu’à un léger gémissement. Ma queue n’avait jamais été aussi dure. Je me mis à chuchoter à son oreille.
    
    — Tu aimes ça hein ? Tu aimes faire la chienne...
    
    — Mmmmmh... mon père...
    
    — T’es qu’une sale pute, te laisser tripoter devant la dépouille de ton mari...
    
    — Mmmmmh... Oui... une pute...
    
    Puis, me regardant avec des yeux que je n’avais jamais vus chez quiconque auparavant, des yeux tellement cochons que mon estomac se serra encore plus qu’il ne l’était, elle repoussa doucement ma main de ses nichons, défit les boutons de sa robe qu’elle ouvrit de ...