Les amants de Lady Schneckerley (5)
Datte: 09/05/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... ton, que je mis sur le compte de l’alcool.
— Ce n’est pas vrai Mistress ! protesta la victime.
— Ferme ta gueule sale nègre, hurla l’autre... Et il lui assena un coup d’une telle violence que le pauvre fléchit.
Je me jetai sur le régisseur.
— Brute, ignoble personnage... laissez-le maintenant. La bête c’est toi, l’animal c’est toi. Tu n’as rien d’humain, eux sont des hommes ! dis-je en laissant éclater ma colère et le fond de ma pensée.
— Oho, tu défends ces animaux-là la belle...
— Je vous défends...
— Tu me défends... ton mari n’est pas là... et d’ailleurs, si c’est ton mari... tu crois que je n’ai pas vu son manège avec son "serviteur"... Il est bien comme ces nègres...
— Vous êtes un porc immonde. Je vous chasse.
Alors il m’attrapa par le bras. Son haleine empestait l’alcool, il titubait un peu.
— Me chasser... ahaha... viens par là ma belle... tu me chasses... tu les défends donc... Tu préfères ces ordures au vieux Dave... viens par là.
Il m’empoigna brutalement et me jeta entre les jambes du pauvre homme accroché au poteau.
— Ton homme ne doit pas t’honorer souvent "ta grâce" et tu m’as l’air d’être une catin qui va avec les esclaves.
La peur me gagnait et je ne pus pas profiter de l’aubaine qui m’était donnée d’entrer en contact avec ce sexe énorme. D’ailleurs, l’esclave se recula...
— Arrêtez, arrêtez, vous irez en justice...
— Tu deviens raisonnable, tu préfères les vrais hommes... regarde ce que j’ai pour toit ici ma ...
... belle.
Il agitait son sexe d’une main en me tenant de l’autre et essayait de me fléchir devant lui.
Ce type me répugnait. J’essayai de lui échapper mais il commença à se frotter contre moi. Je criai, le menaçai mais il répliqua qu’après en avoir fini, il saurait bien se débarrasser de moi... Il me fit rouler par terre et s’allongea sur moi. J’essayai de me dégager de toutes mes forces et réussis à le faire en lui plantant mes doigts dans les yeux. Je me relevai mais il me rattrapa et nous tombâmes au pied des autres esclaves qui réussirent à le maintenir un peu mais il se dégagea en leur promettant une vengeance terrible et me rejoignit bientôt.
Nous roulâmes encore un peu mais il parvint à me maîtriser en m’enserrant les poignets. On devine ce qu’il prétendait faire et j’étais terrorisée.
Puis, tout à coup, une ombre apparut derrière lui et un bruit sourd se fit entendre au moment où un objet touchait son crâne. Il s’effondra.
Il avait perdu ses clefs aux pieds des esclaves qui s’étaient libérés et avaient détaché celui qui était flagellé dans le but de fuir, mais lui venait de neutraliser mon agresseur d’un coup de crosse dans la nuque. Je poussai le corps inerte. Il était mort.
Je ne vis que de la panique dans les yeux de mon sauveur qui en avait même oublié sa nudité.
Je pris ses mains.
— Merci, merci, vous m’avez sauvée. Comment vous appelez-vous ?
— On m’appelle Bo Tom, Mistress...
— Merci Bo Tom, merci. Tu es mon sauveur...
— Mais Mistress, ...