1. Les amants de Lady Schneckerley (5)


    Datte: 09/05/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    Pour cette dernière nuit, chacun voulut me dire adieu. Mais comment m’accoupler avec autant d’hommes.
    
    L’air était doux, le navire filait bien. On croisait d’autres bâtiments au loin, tous Britanniques ou alliés que l’on saluait d’un coup de canon.
    
    Je demandai qu’on illuminât le pont et proposai un concours à tout l’équipage.
    
    Je passerais nue dans les rangs des hommes qui me salueraient d’un garde-à-vous pénien le plus rigide possible. Je choisirais les dix hommes les mieux membrés et ceux-là auraient le droit de me saillir devant l’équipage. Les autres pauvres matelots pourraient toujours se branler et m’asperger de leur semence.
    
    Le capitaine et les officiers ne trouvèrent pas la mesure sage. On n’avait jamais rien vu de tel sur un navire et ils décidèrent de ne point s’y associer, mais ne purent s’opposer à ce que je proposai puisqu’à tout prendre, ce qu’il venait de se passer depuis que je les avais tous baisés n’était pas courant non plus.
    
    Ainsi fis-je. Les hommes retenaient leur souffle. Je les frôlai, tâtai les pénis durcis, les couilles poilues, les torses bombés.
    
    J’eus bientôt fait de désigner les vainqueurs même s’il fallut mesurer de près pour départager ceux qui pouvaient prétendre à la dernière place.
    
    On m’avait installé une paillasse sur le pont et chaque homme me prit selon son plaisir. Chacun préférait telle position, chacun avait son rythme. Mais il faut reconnaître qu’ils étaient plutôt rapides. Et avant que chaque marin ait pu vider ses ...
    ... couilles sur mon corps, ils avaient déjà tous joui.
    
    Je pus alors avoir recours au onzième puis au douzième... tandis qu’il pleuvait du foutre. J’en fus couverte. Décidément, j’en appréciai de plus en plus l’odeur, la tiédeur et le goût.
    
    Tout se termina finalement dans le plus grand désordre. Les hommes se succédaient désormais en moi et au-dessus de moi sans plus aucune idée du concours. Le dernier à me prendre était un irlandais, grand, mince et roux, comme son sexe. Au demeurant, son sexe n’était pas si mince mais il était couronné par un énorme gland ce qui lui donnait une finesse et une singulière allure qui lui valurent, ainsi qu’à celui qui le portait, le surnom de "Champignon" auprès de l’équipage.
    
    Il me supplia de l’emmener avec lui, que jamais plus il ne pourrait aimer une femme comme moi, qu’il se damnerait pour rester à mon service. Il s’appelait Fred Gingerdick et s’était comporté pendant toute la traversée avec beaucoup de prévenance, me faisant l’amour avec une extraordinaire délicatesse qui avait tranché avec le reste de l’équipage. Il m’avait aimée pendant plus d’une heure, m’embrassant partout me déposant de très délicats baisers sur le corps. Il avait été très attentif à mon plaisir plus qu’aucun homme avant lui. Je m’étais attachée à lui e, pendant qu’il se vidait en moi, je lui promis de le prendre à mon service quand il serait arrivé au terme de son engagement. Dans trois mois, après une course jusqu’au Brésil, je l’enverrai chercher.
    
    Quand ...
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