Les amants de Lady Schneckerley (5)
Datte: 09/05/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... chacun eut son saoul, on remplit un baquet pour que je me rince. Beaucoup d’hommes restèrent à me regarder.
Le lendemain nous arrivâmes à l’île de Jamaïque.
Nous avions fait promettre à chaque matelot de garder le secret ce que nous avions partagé pendant la traversée et je comptai sur leur superstition pour que cela fonctionne. Seulement, un marin boit et les langues se délient. Aussi, je me félicitai que mon mari et moi eussions embarqué sous un nom et un titre d’invention. Ma réputation s’en tiendrait préservée.
Le jour même où nous accostâmes, nous prîmes le Brick qui nous attendait pour nous rendre sur Pledge island où nous avions nos plantations. Nous y arrivâmes après trois jours bien ternes où je crus tomber folle de ne plus avoir d’hommes à me mettre entre les cuisses car, le navire faisant régulièrement cette course, il m’était difficile de répondre aux avances, fussent-elles celles d’un officier. Dans ce cas, immanquablement, les choses finiraient par se savoir.
Ici, nous nous présentâmes sous nos titres véritables pour prendre possession de nos biens. Prévenu à l’approche de notre voile, le gouverneur nous attendait en personne et nous reçut en son palais où nous nous fîmes ses hôtes.
J’avais hâte de partir pour pouvoir trouver un homme qui pourrait me satisfaire car, entre ce vieil homme et ses vieux serviteurs noirs, il n’y avait rien qui put étancher ma soif de sexe...
Le gouverneur nous retint de partir le lendemain. Il y avait deux à ...
... trois jours de trajet pour atteindre l’autre versant de l’île où le climat était étouffant en ce moment de l’année. Nous ferions mieux d’attendre. Mais mon mari qui n’en pouvait plus de patienter pour s’allonger avec son amant voulait partir à tout prix, prétextant vouloir découvrir au plus vite notre domaine.
Ce fut la femme du gouverneur qui trouva une solution.
Une imposante bâtisse, digne de notre rang, était à vendre sur les auteurs. Elle décrépissait un peu depuis le départ du précédent propriétaire pour les colonies du nord, mais avait gardé une poignée d’esclaves pour son entretien et un régisseur, ivrogne consommé, brutal et détesté universellement dont on nous conseilla de nous séparer.
L’argument qui me convainquit d’acquérir cette propriété fut que, du côté de nos plantations, il n’y avait que quelques familles, alors qu’ici plusieurs personnalités avaient une résidence loin de leur domaine et on pouvait avoir une vie sociale, sans compter la sécurité de la garnison... et son lot impressionnant de manches à couilles car qui dit garnison dit hommes, qui dit hommes dit bites... je trouverai sûrement à m’occuper ici.
Le lendemain j’achetai le domaine. Il y avait besoin de quelques travaux mais il était logeable.
Le régisseur me prit de haut. Il était vraiment déplaisant et sentait le rhum. Je résolus de le chasser au plus vite. Nous passâmes la nuit sur place et je me caressai en attendant mieux. Fort heureusement, il poussait des bananes dans le parc et ...