1. AVEC LA MERE DE MON COPAIN


    Datte: 12/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... palper le sein. Je tirai encore dessus déformant sa mamelle.
    
    - Maintenant je me dis que je n’aurais pas dû… fit-elle d’une voix légèrement haut perchée.
    
    Son ventre replet faisait quelques plis mais c’était plus bas que se porta mon regard. Je me redressai pour saisir à deux mains ses seins et en gober les bouts. Son corps entier se couvrit de chair de poule et elle poussa des petits gémissements ridicules, en regardant ma bouche qui suçait ses mamelons dressés.
    
    - Oh là, là… reste sage, Alain…
    
    Ma langue tournait autour des boutons épais. Mes mains malaxaient sans ménagement sa chair offerte. S’approchant du bord du fauteuil et délibérément avec des gestes lents, elle écarta les cuisses, exhibant sa chair mate et duveteuse. Maladroitement, dût sans doute par mon excitation, je posai une main tremblante sur sa hanche.
    
    - J’ai trop honte, Alain. J’ai eu tort de me laisser embraquer par un morveux comme toi.
    
    Elle se redressa et ses yeux noirs dans les miens, elle ajouta d’une voix éraillée.
    
    - Pourquoi… mais pourquoi…
    
    D’un bond, elle se leva. Je l'immobilisais. Du bout des doigts j’effleurais sa culotte blanche.
    
    - Oh non, ne fait pas ça… par ma culotte.
    
    Je pris ses mots pour une invite à aller plus loin. Sans l’écouter, je me mis à lécher le ventre et baissais lentement sa culotte le long de ses cuisses. Les fesses libérées se séparèrent, laissant entrevoir une raie profonde. Les mains devant sa bouche, les yeux fermés, Françoise ouvrit ses cuisses ...
    ... pour que je puisse passer ma main.
    
    - Mais… qu’est-ce que je fais ? Oh mon Dieu…
    
    Je flairais l’odeur fauve de son cul. Je regardai, fasciné, le fruit velu qui s’étalait dans l’entrejambe de la mère du copain. Des babines sombres, épaisses, dépassaient de la grosse pelote de poils noirs et bouclés qui dévorait le pubis renflé, remontait en pointe sur le bas-ventre, ne finissant par s’étioler qu’à la naissance des cuisses.
    
    - Alors… tu as eu ce que tu voulais, est-ce que ça ta plaît au moins ?
    
    J’étais à peu près incapable d’articuler. Je posai la main sur son sexe, fourrageai dans l’épais tapis de poils, tâtant les replis grassouillets du con, touchant ses chairs molles et chaudes à travers la toison rêche.
    
    - Oh mon Dieu ! Soupira-t-elle.
    
    J’enfilai progressivement mon doigt dans l’anus. Françoise gigotait, son chignon à moitié défait, poussant de petits cris aigus.
    
    - Oh mon Dieu ! Jamais je n’ai eu aussi honte.
    
    Je retirai mon doigt et tirai sur les lèvres du sexe afin d’ouvrir le trou carmin et gluant du vagin. J’introduisis le même doigt dans la fente baveuse. Cela fit un bruit humide et elle se cabra, tendant ses fesses pour venir au-devant du doigt qui la pénétrait. Elle laissa échapper un faible râle quand je me mis à lui lécher le cul. Elle s’agita sous mes coups de langue, secouée par des spasmes incontrôlables.
    
    - Oh mon Dieu… pardonnez ma faiblesse… Oh ! Alain… arrête tout de suite… toi qui pourrais être mon fils…
    
    Il n’y avait guère de conviction ...
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