1. AVEC LA MERE DE MON COPAIN


    Datte: 12/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    Frédéric était un pote de collège. Et depuis quelque temps, nous étions inséparables. Pas que j’avais changé de mentalité. La solitude était toujours pour moi un besoin. Le désistement à la règle avait pour un but de m’approcher de sa maman. Elle était devenue l’héroïne de mes fantasmes. Et ses petits airs de tante Christiane n’étaient pas étrangers de mon choix.
    
    En ses vacances de fin d’année, sachant Frédéric parti chez son père. Je comptais sur cette désertion pour tenter ma chance avec sa maman. Je me devais pour réaliser mon fantasme être perspicace.
    
    Juste le fait d’apercevoir sa voiture stationnait sur le parking, avait éveillé en moi la bête de sexe que j’étais. J’allais sortir de ma tanière avec l’intention de satisfaire ma faim sexuelle. Un inexplicable besoin de donner du plaisir. Mais pour tout cela, je me devais d’aller lui rendre une petite visite. Ce que je m’apprêtais à exécuter. Le cœur battant la chamade, je m'engageais à bord de l’ascenseur. Celui qui allait me mener jusqu’à son palier. Je jubilais intérieurement. Bien sûr, elle fut surprise de me voir au pas de sa porte, mettez-vous à sa place. Jamais je n’oublierai la tête qu’elle avait faite. De même la première phrase qui était sorti de sa bouche :
    
    - Mais tu sais bien que Frédéric n’est pas là.
    
    - Oui je le sais parfaitement et c’est même pour cela que je suis là. J'ai une confession à vous faire, et pour cela j'avais besoin que l'on soit en tête à tête.
    
    - Une confession ? Rentre ...
    ... donc…
    
    Sa voix s’était faite plus grave. La porte refermait, je me collai à elle, écrasant son opulente poitrine contre mon torse, lui murmurant à l’oreille.
    
    - Madame… Je… j’ai envie de vous !
    
    J’avais été à l’essentiel sans extravagance, ni démesure. C’était je vous l’accorde une déclaration ridicule. Mais c’était tout moi. Dans ces instants, mes faits et gestes étaient imposés non pas par le cerveau, mais par ma verge. Elle tourna ma déclaration intempestive en plaisanterie et alla se laisser tomber dans un fauteuil. Je franchis à mon tour, l’entrée du salon meublé de manière coquette, avec des couleurs chaudes. Je pris place face à elle. Sur la table basse se tenait une bouteille de liqueur de banane ainsi que des biscuits cuillères. Elle se saisit de son verre et le bus cul sec. elle finit son verre et alluma une cigarette.
    
    - Quel nigaud tu es Alain ! Dit-elle, en allumant une cigarette. Heureusement que mon fils n’est pas là !
    
    Pendant qu’elle essayait de me résonner, je l’observais d’un œil neuf. Tout chez elle me faisait penser à tante Christiane. Surtout son épaisse chevelure noire, striée de quelques fils argentés, tirée en chignon. Tout me paraissait troublant en elle. De ses paupières un peu lourdes, à sa moue sensuelle lorsqu’elle tenait entre ses lèvres sa cigarette, avalant la fumée avec volupté.
    
    - Mais c’est vrai, madame, je vous désire ! Je vous ai toujours désiré, d’ailleurs et cela depuis notre première rencontre… et maintenant de vous veut !
    
    Tout ...
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