1. AVEC LA MERE DE MON COPAIN


    Datte: 12/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... venir harceler une pauvre mère de famille… seule… chez elle… profitant de sa faiblesse de femme seule;
    
    Je remarquai pour la première fois, qu’elle aussi était troublée. Était-ce à cause de la liqueur qu’elle avalait sans discontinuer par grande dose, ou de la chaleur étouffante de l’appartement surchauffé. Un peu de sueur perlait de son front et ses seins opulents se soulevaient rapidement sous la robe de chambre. Peut-être aussi qu’elle n’avait pas eu d’amoureux depuis trop longtemps. Était-elle, elle aussi en manque, comme je l'étais.
    
    Je l’étouffai sous un déluge de compliments, massant agréablement son pied, plus particulièrement ses orteils. Il fallait avouer qu'ils étaient quand même beaux, ses orteils.
    
    - Oh ! Madame, vous êtes tellement désirable ! Votre corps est somptueux, c’est celui d’une déesse ! Vous approchez de la quarantaine si je ne me trompe pas, non . Il faut vous dévergonder un peu. Après il sera trop tard. D’autant plus, ajoutais-je, que ce serait dommage de laisser perdre une si belle fleur. Vous êtes si bien
    
    entretenu, pour une femme de votre âge.
    
    Elle eut un petit rire contraint :
    
    - Vraiment . Tu ne dis pas ça que pour me flatter.
    
    - Oh non madame, je ne me le permettrais pas. Je vous trouve divine.
    
    - Tu ne te moques pas au moins. Susurra-t-elle.
    
    - Pas du tout madame. Tenez, votre poitrine, eh bien je la trouve agréable à regarder.
    
    Elle protesta :
    
    - Oh là, je ne suis pas très d’accord avec toi. Je la déteste. Elle est ...
    ... monstrueuse…
    
    - Je ne suis pas de votre avis, madame. Ils sont splendides.
    
    - Comment peux-tu dires cela sans l’avoir vu? - Mais sachez chère dame, que je demande qu’à les voir… - Voyons, dit-elle… petit coquin…
    
    Avec un petit rire gêné, elle porta ses mains sur le haut de sa robe de chambre, et commença à déboutonner. Bouton après bouton, avec des doigts tremblants. Peu à peu, les deux pans s’écartèrent, exhibant une poitrine moulée dans une dentelle presque transparente. Je distinguais nettement au centre des bonnets, les taches brunes des mamelons gonflés. Je contemplais le spectacle qui m’était offert, avec un sourire bébête. Sa poitrine montait et descendait par saccades.
    
    - Alors ton avis ?
    
    Je lâchai le pied, pour m’approcher d’elle. Je pris l’initiative d’insinuer mes doigts entre la dentelle et la peau moite des seins. Elle frissonna.
    
    - Je les trouve encore plus beaux encore…
    
    - Oh ! Que tu es gentil Alain, fit-elle d’une voix mielleuse.
    
    Mes doigts remontèrent sous les bonnets et frôlèrent les pointes des tétons érigés. Surveillant entre mes cils les réactions de la femme. Je pris le risque de tirer le bonnet vers le bas, dénudant le globe laiteux. Elle poussa un soupir et bredouilla :
    
    - Tu… Tu vois comme il est gros… et… tombant…
    
    Je dégageais le sein entièrement de son nid. Pour mon plus grand plaisir, elle se laissa dépoitrailler. Seul son soufflé précipité trahissait son émotion. Je me mis à pincer son bout. Elle se figea, se laissa lâchement ...
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