1. AVEC LA MERE DE MON COPAIN


    Datte: 12/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... dans sa voix. Ses paupières s’étaient alourdies, elles étaient pratiquement closes. Elle respirait fort, vite, soulevant ses gros seins à chaque inspiration. Elle glissa les mains sur son ventre, écartant la mienne et du bout des doigts, entrouvrit les chairs molles et velues, exhibant la fente d’un rouge sombre, presque brun. Les longues babines s’étiraient, bâillant sur un pertuis déjà luisant d’humidité, et son clitoris était dressé comme une bite. Je me penchai au-dessus de ses mains. Je humai son odeur chaude et musquée, son parfum de sueur marine, et finis par tendre ma langue, effleurant les grosses lèvres. Ses mains délaissèrent son sexe pour se prendre la tête.
    
    - Oh ! Alain, si j’avais su… oui !
    
    Son odeur forte, iodée, m’excitait et mes coups de langue se firent plus appuyés. J’aspirai ses lèvres molles et salées tout en continuant à laper.
    
    - Oui, comme ça ! Comme ça… oh ! Oh !
    
    Elle se cambra davantage, plaçant sa jambe droite en appui sur mon épaule. Agrippant mes cheveux pour me guider, me freiner un peu, tandis que je me goinfrai du fruit qui me devait être interdit. Je
    
    buvait son jus parfumé, me régalant de ses chairs, de sa mouille saline.
    
    - Non ! Je… Doucement mon chéri ! oh ! Oui…
    
    Je ne l’écoutais pas. Plus rien ne compter pour moi. Seul la faire jouir m’intéresser. Je suçai le gros bouton, l’aspirant entre mes lèvres. Du majeur, j’agaçais l’entrée du con. Elle se mit à trembler de tout son corps.
    
    - Oh… ! Je jouis… ! Je jouis ...
    ... hurla-t-elle tout à coup et elle, se mordant la paume pour étouffer ses cris.
    
    Je continuai avec frénésie, avalant sa mouille avec des bruits humides jusqu’à ce qu’elle finisse par me repousser. Son sexe était devenu trop sensible pour être encore aimé.
    
    Elle s’effondra sur le fauteuil pour reprendre son souffle. Son con était encore plus obscène maintenant, les poils noirs raidis de bave s’étiraient en mèches hirsutes autour des chairs gonflées et rougies. Les babines déplissaient bâillaient, luisantes.
    
    Elle évitait mon regard, dissimulant son visage sous son bras replié. Un filet de sueur coulait entre ses gros seins.
    
    - Va-t-en, Alain ! Je t’en prie, j’ai tellement honte ! Va-t-en tu entends.
    
    J’avais eu ce que je voulais, et pourtant je restais comme un idiot agenouillé, le menton encore poisseux de sa jouissance. Un goût salé dans la bouche.
    
    - C’était rudement bon, tu sais, me dit-elle dans un sourire Elle me regarda fugitivement, les yeux humides embués, le visage rougi sans que je sache si c’était de plaisir ou de honte.
    
    - Tu peux… tu sais, si tu veux… te soulager !
    
    La tête me tournait, il me semblait que j’allais perdre la raison.
    
    - Viens ! Viens là, je vais t’aider !
    
    Elle m’attira près d’elle et défit ma braguette avec des gestes d’infirmières. Sa main était chaude sur ma queue. Puis me laissant sur ma faim, elle s’allongea sur son fauteuil sur le dos. Là me fixant avec intensité, elle écarta largement ses cuisses.
    
    - Viens ! M’implora-t-elle… Viens ...
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