1. Je suis contre ma belle-mère... tout contre !


    Datte: 03/05/2021, Catégories: fh, fplusag, alliance, train, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Auteur: Yann, Source: Revebebe

    ... d’avoir pris un certain plaisir, que je qualifiais de malsain, à la regarder. C’était la mère de ma femme, j’aurais dû lui montrer plus de considération. Aussi, sans être oubliée, l’image licencieuse avait été reléguée dans un coin discret de ma mémoire. Je me devais de me conduire en actes et en pensées comme le gendre bien élevé qu’elle espérait et que je voulais être.
    
    Jusqu’à ce jour où la visite à Paris d’un roitelet africain ayant mobilisé les forces de l’ordre et rendue presque impossible la circulation, le hasard nous a conduits, après la visite d’une exposition en compagnie de mes beaux-parents, à prendre le métro pour rejoindre la Gare du Nord près de laquelle nous avions laissé notre voiture. Sur le quai, l’affluence est telle que la simple montée dans les voitures va se révéler problématique. Cela ne manque pas, un brusque mouvement de foule nous sépare au moment où nous tentons de pénétrer dans un wagon avant que les portes automatiques ne se referment et quand la rame démarre, j’ai juste le temps de constater que mon beau-père et ma femme sont restés sur le quai. C’est toujours pareil dans ces cas là, tout le monde se précipite, sans s’occuper des voisins. Les gens ne pensent qu’à eux et du moment qu’ils sont bien installés, que les autres se débrouillent !
    
    Ce n’est pas catastrophique, c’est juste irritant. Ma femme et mon beau-père prendront la rame suivante et nous rejoindront. Nous n’aurons qu’à les attendre. Heureusement ma belle-mère est restée près ...
    ... de moi. Toute seule, au milieu d’inconnus, elle se serait inquiétée.
    
    La voiture de deuxième classe dans laquelle nous nous trouvons est vraiment bondée. Nous nous retrouvons serrés comme des sardines. Sans l’avoir aucunement cherché, je suis intimement en contact avec la hanche et la cuisse de ma belle-mère. Confus, j’essaie de garder mes distances, mais la foule nous presse l’un contre l’autre. Ma belle-mère, apparemment pour éviter trop de promiscuité avec son voisin, se retourne et me fait face. Cette fois c’est encore plus précis, je sens ses seins qui se pressent contre ma poitrine, son ventre qui se colle au mien.
    
    Je suis gêné, elle aussi je pense, mais la masse des voyageurs est si dense qu’il nous est impossible de bouger. Nous voilà donc contraints de demeurer ainsi, intimement rapprochés. Pour bien faire, les trépidations régulières du wagon sur les rails, qui se transmettent à nos jambes, puis à tout notre corps, accentuent encore l’ambiguïté de notre position et amplifient les effets de notre contact physique involontaire.
    
    J’ai vingt-cinq ans et le sang chaud. Ce corps de femme tiède et tendre tout contre le mien ne me laisse pas insensible. Cela a beau être celui de ma belle-mère, la nature est la plus forte et très vite, j’ai une réaction masculine normale, surtout à mon âge et je me mets à bander sans pouvoir me retenir.
    
    Serrés comme nous sommes, elle ne peut l’ignorer, surtout que l’idée de bander contre le ventre de ma belle-mère me fait grossir ...
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