1. Je suis contre ma belle-mère... tout contre !


    Datte: 03/05/2021, Catégories: fh, fplusag, alliance, train, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Auteur: Yann, Source: Revebebe

    ... encore plus que d’habitude, mais elle ne manifeste aucun agacement et n’esquisse aucun mouvement de recul. Moi-même, je sens contre mon sexe l’os dur de son pubis. Elle ne l’ignore pas non plus. À intervalles réguliers, le léger sursaut provoqué par le joint de jonction des rails nous amène à mimer, malgré nous, des frottements équivoques qui ne sont pas sans effet sur ma belle-mère. Elle a un gémissement rauque. Ses gros seins s’écrasent encore plus contre ma poitrine, son ventre plaqué au mien me transmet sa chaleur à travers nos vêtements…
    
    La rame s’arrête dans une station, un mouvement de foule nous déstabilise. Dans la crainte irraisonnée de tomber, nous nous attrapons par les épaules et nous restons ainsi, quasiment enlacés. Les nouveaux voyageurs qui sont montés nous empêchent de reprendre quelque distance. Malgré moi, je continue donc à garder ma belle-mère quasiment entre mes bras et à lui imposer, d’une façon encore plus explicite, le contact de ma bite raide et dure. Elle ne peut plus ignorer l’effet qu’elle me fait et cela à l’air de ne pas lui déplaire, puisque je sens maintenant son ventre qui s’appuie délibérément sur la protubérance que je frotte contre elle depuis tout à l’heure. Le peu que je peux apercevoir de son visage me confirme ce que je commence à soupçonner. Elle a les yeux fermés et respire difficilement, bouche ouverte. Je parviens à me reculer un peu, pour mieux voir. Elle se rapproche et se colle à nouveau contre moi. La pression de la foule ...
    ... à bon dos !
    
    Eh bien ! Puisque le contact affirmé de mon sexe, en érection manifeste, ne semble pas déplaire à belle-maman, autant en profiter. Moi aussi je vais prendre prétexte de la cohue pour me permettre de petites privautés. Je verrai bien quelle sera sa réaction !
    
    De ses épaules, mes mains descendent innocemment le long de son dos, comme si les vibrations de la vitre sur laquelle elle s’appuie maintenant en étaient la cause. Elle ne se dérobe pas. J’arrive sur ses hanches, toujours pas de réaction négative. Je profite d’un cahot plus marqué pour les laisser glisser davantage et les poser sur le haut de ses fesses. Sous mes doigts, je sens la tiédeur de son corps et je peux suivre le léger bourrelet du liseré de sa culotte qui se devine sous le fin tissu.
    
    Sa culotte ! Le déclic ! L’image que je croyais oubliée depuis cinq ans, abandonnée grise et décolorée au fin fond de ma mémoire, vient de resurgir, intacte, nette, bandante. Le corps dodu de ma belle-mère, ses formes sensuelles, ses seins lourds aux aréoles si larges, ses fesses d’un blanc laiteux sur sa peau bronzée et dont l’arrondi voluptueux avait été si tentateur et, entre ses doigts, le petit chiffon blanc qu’elle venait de retirer devant moi s’imposent à nouveau à mon esprit enfiévré. Je retrouve l’émoi de mes vingt ans, je la vois à nouveau comme je l’avais vue ce jour-là, en train de se déshabiller avant de me laisser découvrir son corps et en même temps, je me dis que c’est cette même femme que je ...
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