1. Je suis contre ma belle-mère... tout contre !


    Datte: 03/05/2021, Catégories: fh, fplusag, alliance, train, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Auteur: Yann, Source: Revebebe

    ... pas trop pour qu’elle ne le remarque pas, assez pour me rincer l’œil et, le rouge au front, je me mis à jouer au voyeur comme un vieux vicieux regardant une jouvencelle au bain, sauf que dans mon cas les termes devaient s’inverser, le jeune vicieux regardait la femme mûre !
    
    Pour ma première prestation, le dieu des voyeurs et son âme damnée, la glace, me récompensèrent car, ignorant ma présence et se voyant seule et bien tranquille maintenant dans sa salle de bains, ma belle-mère avait déjà retiré son soutien-gorge et était en train de faire lentement glisser sa culotte sur ses belles hanches rondes, comme pour éviter de l’abîmer avant la cérémonie du lendemain.
    
    J’eus une vision de rêve quand, après l’avoir retirée avec précaution, elle se redressa, exposant à mes yeux qui n’en croyaient pas leur chance, les trésors plantureux de sa poitrine et le foisonnant buisson de sa toison qui bouclait entre ses cuisses. Suivie presque aussitôt d’un deuxième éblouissement, quand elle se retourna vers le même porte-vêtements pour y disposer, bien à plat, sa parure de lingerie, m’offrant ainsi le spectacle somptueux de ses deux splendides fesses, auxquelles la culotte du bikini qu’elle portait cet été avait laissé la blancheur émouvante de la chair nue.
    
    Je n’aurais jamais pensé qu’une femme de l’âge de ma mère puisse être aussi bandante. J’aurais bien continué un moment à l’admirer, ainsi, nue, pour le plaisir des yeux, mais le danger d’être surpris demeurait.
    
    Je me ressaisis ...
    ... à temps pour éviter de me faire pincer en train de mater la mère de ma future femme, la veille de mon mariage, le scandale ! Et je m’éloignai sur la pointe des pieds. J’étais furieusement excité par ces seins et ces fesses pourtant à peine entrevus, mais qui m’avaient laissé une impression de plénitude épanouie que je n’avais jamais ressenti devant ceux de ma fiancée. Jeune godelureau imbu des fausses certitudes et des préjugés de mon âge, je venais de découvrir le charme de la maturité épanouie d’un beau corps de femme. De quoi réfléchir !
    
    Désormais une image m’accompagnait et s’était gravée dans ma mémoire, celle de ma belle-mère debout dans sa splendide nudité, sa culotte à la main.
    
    Le lendemain, j’eus une petite pensée salace en la voyant revêtue de cette robe qu’elle essayait la veille, car je connaissais bien, moi, la jolie lingerie coquine qu’elle portait dessous. Privilège que j’étais seul à partager avec son mari …et encore ?
    
    Puis le tourbillon de cette journée m’emporta, ma fiancée devenue officiellement mon épouse prit facilement la première place dans mes pensées et le soir de nos noces, quand je la déshabillai pour la première fois en tant que mari c’est sa fraîcheur et sa fougue qui l’emportèrent.
    
    Les jours passèrent, puis les mois, et les années. Le petit film de ma belle-mère en train de se déshabiller était toujours présent dans ma mémoire, mais petit à petit s’était atténué. Je n’étais pas très fier de ma conduite de ce jour-là et je m’en voulais ...
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