1. La vie reprend : la curiosité peut révéler des choses


    Datte: 01/05/2021, Catégories: fh, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... passe sur elle pour la pénétrer, il n’a nulle difficulté à lui mettre le vit dans le con ; la réaction de Madeleine est d’écarter les cuisses et refermer les bras. Il commence à pistonner. Quelques coups de queue suffisent pour qu’elle prenne le tempo… N’eût-il gardé sa chemise et son gilet, il aurait eu le dos griffé. Elle n’est point longue à prendre, pour la première fois de sa vie, du plaisir aux choses du sexe. Elle se sent tout amollie ; or ce diable d’Athanase ne la laisse pas savourer en repos, il poursuit.
    
    À nouveau son sang s’échauffe. Elle repart pour une nouvelle montée vers la jouissance, mais le garçon arrivé à bout de résistance se vide ; son sexe décline et est chassé du doux fourreau. Elle en crierait de frustration. Elle voudrait qu’il poursuive, qu’il ne la laisse pas ainsi en chemin vers une nouvelle apothéose. Un éclair lui traverse l’esprit. Elle se rappelle que quelques jours auparavant, dans un cas semblable, son amie – pour redonner de l’allant à son époux – s’était agenouillée et penchée pour prendre le vit dans sa bouche, le sucer, le lécher jusqu’à ce qu’il eut repris fière allure. Elle s’était demandé comment Blandine pouvait prendre dans sa bouche cette chose gluante sans avoir de nausées. Une autre fois, ayant pris son plaisir, elle avait pompé Jean-Baptiste jusqu’à lui faire cracher sa semence. Elle hésite un moment et, forte de cet exemple, passant outre une certaine répugnance, elle gobe le sexe du garçon.
    
    Elle trouve le goût un peu ...
    ... douceâtre et en même temps un peu âcre, mais poursuit jusqu’à ce que l’objet de ses attentions retrouve la consistance indispensable à la visite de son intimité. Cela fait, elle va pour se rallonger, mais il l’en empêche pour la faire mettre à quatre pattes. Bien qu’elle ait toujours trouvé cette position bestiale, elle obtempère, ne voulant pas perdre de temps à discuter. Ce qu’elle veut, c’est de l’avoir de nouveau en elle et repartir. Elle est exaucée. Il la pénètre d’un coup. Ne l’eût-il tenue solidement par les hanches, elle aurait perdu l’équilibre tant il y est allé rudement. La vigueur de l’abordage la laisse un moment pantoise, mais rapidement elle accompagne le mouvement. Plusieurs fois de petites décharges la secouent, mais sans que la pression redescende. Puis brusquement elle sent une nouvelle vague arriver. Celle-ci, plus puissante que les précédentes, déferle, lui arrachant un cri qu’elle ne peut tout à fait retenir. Tout son être s’embrase. Elle est secouée de spasmes qui se confondent avec ceux du pêcheur qui décharge aussi. Elle s’effondre littéralement, le souffle court. Athanase s’allonge à ses côtés et lui susurre :
    
    — Eh ben toi alors ! T’es une sacrée femelle. T’as un sacré coup de reins. J’aurions point cru à te voir quand on est arrivé. T’avais l’air d’être coincée comme pas deux. Quand j’t’ai vue suivre tes amis qu’allaient folâtrer, j’en ai point cru mes yeux. Tu cachais bien qu’t’as du tempérament. Y a pas, t’aimes la bite.
    
    Ce discours emplit ...
«1...3456»