1. La vie reprend : la curiosité peut révéler des choses


    Datte: 01/05/2021, Catégories: fh, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... Madeleine hésite à sortir pour se retrouver face aux importuns. Ses amis, arrivant sur ses talons, se douteront qu’elle les observait ; aussi préfère-t-elle grimper à l’échelle qui mène à l’étage. Elle est à peine arrivée en haut que le couple sort et se met le plus naturellement du monde à parler avec le groupe. Tout le monde s’arrête devant la porte bloquant la sortie. Sur la pointe des pieds, elle traverse le grenier empli de paille et encombré d’objets divers pour voir s’il n’y a pas une autre issue. Il y a bien une porte de l’autre côté, mais point d’échelle pour descendre, et c’est trop haut pour sauter. Elle va devoir attendre que le groupe s’en aille pour quitter son perchoir. Elle referme la porte, se retourne pour se trouver nez à nez avec un jeune marin qui doit s’appeler Athanase si elle se souvient bien. Elle reste muette de saisissement. Il s’approche en souriant et lui murmure :
    
    — Y s’ennuyaient pas…
    — Qui ? répond-elle, désorientée, en chuchotant elle aussi.
    — Ben, vos amis. Y mettent du cœur à l’ouvrage quand il est question de faire la bête à deux dos.
    — Comment ?
    — Comme vous, je les zieutais.
    — Vous vous trompez !
    — Vous faites la mijaurée, mais moi j’ai ben vu vot’manège. Chaque fois qu’y partent ensemble vous les suivez. Ça doit vous chauffer le sang de les mater.
    — Comment osez-vous !
    — J’suis sûr qu’ça vous fait mouiller.
    — Taisez-vous ! réplique-t-elle, affolée de se voir percée à jour car ce rustre a raison.
    
    Lorsqu’elle les regarde – ...
    ... et de plus en plus intensément à chaque fois – ses sens s’enflamment et son sexe suinte. Le plus étonnant, c’est qu’elle ne pense même pas à se soulager avec ses doigts. À dire vrai, elle ne l’a jamais fait et n’en avait jusqu’à présent jamais ressenti le besoin. Aussi après chaque séance met-elle du temps à retrouver un peu de calme, mais elle se sent tout de même inassouvie.
    
    Le garçon, qui est à quelques pouces d’elle pour qu’ils puissent s’entendre sans avoir à élever la voix, se tait, mais la prend dans ses bras et l’embrasse. Elle se débat, le prie de la laisser, mais n’ose crier. Il insiste ; ils basculent dans le foin. Il réussit à passer la main sous ses jupes, remonte le long des cuisses, et quand il atteint à travers le tissu la fente, et surtout le bouton de Madeleine, celle-ci ressent comme une décharge qui la laisse interdite et dolente.
    
    L’autre pousse son avantage pour tirer ses dessous et la peloter. Tout son corps s’enflamme. Elle ne songe plus à le repousser et ne peut s’empêcher de desserrer les jambes. Elle n’est plus que sensations. Ce que voyant, le pêcheur en profite, sans cesser de la caresser, pour la débarrasser de ses jupe, jupon et culotte et délacer son corsage. Tandis qu’il embrasse ou tète ses seins, ses doigts s’activent dans le buisson blond, pinçant ou astiquant le clitoris, ou introduisant jusqu’à trois doigts dans la chatte.
    
    Elle oublie ce qui l’entoure et geint doucement. Heureusement, le groupe de parleurs s’est éloigné. Quand il ...
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